Seule en club
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
Première fois
Partouze / Groupe
Auteur: leger69, Source: xHamster
... et me retrouve nue avec ma laisse et mon plug anal, la chatte trempée, la bouche sèche. Instinctivement je me mets à quatre pattes pour monter les quelques marches couvertes de moquette et nous arrivons devant une porte.
« Mets la laisse dans ta bouche et reste là »
J’obéis encore. Quelques minutes passent qui me paraissent interminables. Puis la porte s’ouvre.
Un videur black vient me chercher, saisit ma laisse et me fait entrer dans un petit bureau avec des canapés. Et surtout des hommes. Au moins une dizaine. Des blacks, des bruns, des costauds...on dirait toute l’équipe de la sécurité du club. ils sont tous affalés la bite à la main en train de se branler en me voyant débarquer en chienne docile.
Je vais prendre cher, je le sais...mais c’est plus fort que moi, j’en crève d’envie.
« Fais la belle ! »
Je me redresse et me mets à genoux, en tirant la langue, les yeux suppliant une récompense.
Les bites grossissent à vue d’oeil, toutes plus belles les unes que les autres.
« Farid, donne lui son su-sucre »
Un jeune maghrébin très beau se lève et vient me fourrer sa queue dans la bouche, sans précaution, comme j’aime. Sa queue est énorme, il me baise la bouche en tirant sur ma laisse.
« Deux autres »
Deux autres se lèvent et viennent m’inspecter. Je pompe comme une folle pendant qu’on retire mon plug et qu’une bite se faufile dans mon cul, me faisant jouir instantanément.
« Deux autres »
Tout va très vite, ils sont tous autour de moi et ...
... en moi, me bouchent les trous, je glisse de partout, envahie de bites inconnues, je bouffe des glands comme un écureuil affamé, je me fais défoncer comme une poupée gonflable et je crie, je jouis, je ne peux même pas raconter la scène, la décrire tellement je suis saillie, assaillie, je ne remarque que plus tard que mon gangbang est filmé et qu’il est retransmis en direct dans le club sur écran géant.
Mon cul est heureux, il orgasme sans répit, les bites se succèdent, toutes plus grosses, plus dures, plus perforantes.
Les hommes ne disent rien, ne m’insultent pas, mais se relaient pour me baiser sans relâche, repartent boire un coup ou se reposer et reviennent dans mes orifices dès qu’il y a un peu de place.
Très pros.
Ça dure tellement longtemps que je ne compte plus mes jouissances, j’ai l’impression de chevaucher une fusée qui m’emmène au paradis des salopes, alors qu’ils me tirent les cheveux et sur la laisse en me bourrant comme des morts de faim. Toute ma tension corporelle s'est évanouie, je suis en apesanteur sur leurs queues bien dures, soulevée de terre comme une poupée, comme un robot sexuel. J'ai en tête la chanson de Bashung « Madame rêve » alors que ma chatte dégouline et que je bave sur leurs bites. Je n'ai plus du tout la bouche sèche et pâteuse....
« Allez, c’est l’heure du bukkake final »
C’est toujours mon hôte du bar qui donne les consignes. J’ai du tomber direct sur le patron sans le savoir.
Tous les hommes se mettent autour de moi, la ...