Confession - Histoires de Sexe

Confession

... glissait son genou entre les miens. Et là, elle a commencé à me faire des petits bisous, sur les joues, puis de plus en plus près de ma bouche, puis sur mes lèvres…
— Est-ce ça vous plaisait ou bien vous effrayait ?
— Un peu les deux, mon Père. J’étais excitée par ce contact, mais je ne savais pas où elle voulait en venir, jusqu’où elle désirait aller… Je veux dire… je n’avais jamais fait… enfin, rien fait…
— Vous voulez dire avec une femme, c’est ça ?
— Oui, c’est ça, mon Père. Heu, en fait, sauf une fois, avec une copine, mais on n’avait presque rien fait…
— C’est-à-dire ? Vous savez qu’ici il faut tout dire, ma fille.
— Mais non, en fait on n’avait fait que des… des comparaisons, vous voyez ce que je veux dire ? Enfin, juste baissé nos culottes pour nous montrer nos foufounes réciproquement.
— Et… qu’est-ce qui vous excitait le plus ? Contempler le sexe de votre copine ou bien lui exhiber le vôtre ?
— Je crois bien que c’était de lui montrer, mon Père… D’ailleurs, par la suite, je m’étais beaucoup caressée en y repensant. Mais je l’avais confessé au curé de notre village.
— Oui, c’est votre tendance exhibitionniste, un de vos vices. Bon, c’est donc pardonné, maintenant. Poursuivez, avec votre amie.
— Oui, voilà. Donc j’avais très envie d’essayer, alors je me laissais faire et à ce moment j’ai senti qu’elle introduisait sa langue entre mes lèvres, et là, j’ai compris où elle voulait en venir… Docilement, j’ai ouvert la bouche et nos langues et nos salives se ...

... sont mélangées dans un baiser furieux. C’était délicieux, mon Père, sa langue et sa bouche étaient si douces… Je confesse avoir pris beaucoup de plaisir dans cette étreinte…
— Et… après ?
— Après, tout en continuant à m’embrasser, j’ai senti qu’elle glissait sa main sous ma chemise de nuit, elle descendait le long de mon ventre, puis j’ai senti ses doigts qui commençaient à jouer avec mes poils… Folle de désir, j’écartais les cuisses pour faciliter sa caresse, ses doigts s’introduisirent en moi, j’étais trempée et elle commença à me faire jouir par des va-et-vient délicieux. En même je sentis qu’elle avait pris ma main pour la glisser entre ses cuisses. J’ai compris qu’elle voulait que je lui rende le même service, ses poils tout frisés étaient aussi déjà trempés et elle était tellement ouverte que je dus m’occuper d’elle avec deux, puis trois doigts… Je ne savais plus où j’étais tellement c’était bon, nous ne prononcions pas une parole, il n’y avait dans la chambre que le bruit de nos langues qui se mélangeaient, le clapotis de nos caresses intimes et nos petits gémissements de plaisir à toutes les deux.
— Et… ça a duré longtemps ? Vous devez tout avouer ici, vous le savez.
— Au juste, je ne sais pas trop, mon Père… Oui, longtemps, le temps que nous arrivions chacune à notre spasme, l’une après l’autre, elle d’abord, je crois, oui, avant moi… Ensuite, nous nous sommes endormies. Et ce matin, au réveil, c’était comme si rien ne s’était passé auparavant. Huguette était ...