Juste une fois... (Trouvée sur le WEB)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... c’est vrai ! Quel idiot je fais ! Je vais la chercher de ce pas et je remonte direct. Tu ne tardes pas hein ? ! »
« – Non – non, j’arrive ! »
Elle avait capté mon clin d’œil : Elle avait compris que je lui donnais là un bon prétexte pour abréger une conversation qu’elle n’avait sans doute pas sollicitée.
C’est donc l’esprit tranquille et sans l’ombre d’un doute que je retournais vers le parking, avant de reprendre directement l’ascenseur une fois mon bien récupéré.
*****
J’étais à nouveau désappointé :
Il m’avait fallu à peine plus de vingt minutes pour me rafraichir et me raser de près. Ce laps de temps aurait largement dû suffire à Lison pour expédier gentiment le pépère collant or toujours pas de Lili à l’horizon.
Cette fois, pas question de perdre du temps.
Même si ça me coûtait de me rhabiller alors que j’étais près à accueillir ma partenaire dans le plus simple appareil, histoire de lancer tranquillement les « hostilités », je renfilais prestement pantalon et polo pour aller voir de quoi il retournait au rez-de-chaussée…
Ils n’étaient plus au bar…
… mais assis dans un des confortables canapés qui formaient un ilot au centre de la salle.
Devant eux, sur la table basse, trônait une bouteille de champagne ouverte accompagnée de deux coupes aux deux tiers remplies de bulles ambrées.
Manifestement, je n’étais pas attendu.
A mon arrivée, Lison m’adressa un petit sourire mi amusé mi désolé accompagné d’un très léger haussement ...
... d’épaule.
Comme si elle semblait s’être laissée embarquée plus ou moins contre son gré dans cette « aventure » mais qu’elle se réjouissait quand-même de la situation. Déroutant.
En m’approchant, je remarquai que l’homme tenait la main gauche de Lison dans ses mains.
Alors que je prenais place en face d’eux, il ignora ostensiblement mon arrivée et continua sans se démonter :
« – Non, Lison, ne faites pas la modeste, vous avez des mains absolument divines ! Croyez-moi, je suis très bien placé pour me faire juge : Des mains, j’en vois des centaines, c’est mon métier ! Les vôtres sont fines, douces, merveilleusement proportionnées… parfaites quoi ! »
De toute évidence, le bonhomme ne s’était pas découragé et continuait à draguer de plus en plus ouvertement ma femme.
Tout en parlant, il passait doucement les pouces sur la paume et le dos de la main qu’il avait emprisonnée, dans un mouvement savamment étudié pour paraître machinal et anodin mais qui n’en demeurait pas moins une caresse.
Lison rosissait sous les compliments et masquait son émotion en buvant sa flute à petites gorgées de sa main libre.
« – Dis, mon amour, on ne va peut-être pas abuser plus longtemps de la gentillesse et de la générosité de Monsieur… De plus, il se fait tard et la journée a été longue… On ferait mieux d’aller nous coucher… »
« – Allons, Julien, vous êtes encore tout jeunes, ne me faites pas croire que vous êtes fatigués à cette heure ! Allez donc vous trouver une coupe au bar et ...