1. Jamais deux sans trois


    Datte: 21/02/2021, Catégories: Hardcore, Lesbienne Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... te dirait ? »
    
    « Ben oui, je crois. Putain, je n’en reviens pas… »
    
    « Tu l’as déjà fait avec deux nanas ? »
    
    « Non. »
    
    « Mais comme tous les mecs, tu l’as imaginé… »
    
    Je me suis contenté de sourire en réponse.
    
    Mathilde a ajouté :
    
    « On a parlé d’une autre possibilité, Hélène et moi. »
    
    « Laquelle ? »
    
    Elle a vidé son verre, puis allumé une cigarette avant de dire :
    
    « Que vous couchiez ensemble en mon absence. »
    
    Dans la vie, il peut arriver que des choses pareilles vous tombent dessus. Ça fait un drôle d’effet et vous croyez rêver. Il s’agit alors de saisir le présent, sans penser au futur. Sans se poser trop de questions.
    
    Trois jours plus tard, Hélène est venue sonner à mon interphone. C’est Mathilde qui avait tout organisé. Je n’avais même pas échangé de message avec Hélène.
    
    Je l’ai faite entrer et j’ai refermé la porte. On s’est fait deux bises et je l’ai invitée à me précéder dans mon salon. Elle avait un joli petit cul sous sa robe courte couleur kaki.
    
    « Veux-tu un verre ? dis-je. »
    
    « Non, je n’ai pas beaucoup de temps, dit Hélène. J’ai rendez-vous à 19 heures 30 au resto avec des collègues. »
    
    « Ah… dis-je en vérifiant l’heure au cadran de ma live-box. »
    
    Il était 18 heures 41.
    
    Quand je suis revenue à Hélène, elle venait de poser son sac à main sur mon canapé et elle était en train de défaire un bouton de sa robe qui s’ouvrait par devant.
    
    Aucun mot n’est parvenu à sortir de ma bouche.
    
    Elle a défait le bouton suivant et ...
    ... m’a dit :
    
    « Tu as un préservatif ? »
    
    J’ai secoué la tête et dit :
    
    « Oui, oui… »
    
    Le troisième bouton a sauté et je me suis rendu compte qu’elle ne portait pas de soutif.
    
    « Mais je ne t’oblige pas à en mettre, dit-elle en commençant à défaire la petite ceinture à sa taille. Tu veux le faire où ? »
    
    Je respirais un peu trop vite et je bandais.
    
    « Comme tu veux, dis-je. »
    
    « A poil dans ton canapé ? suggéra-t-elle en tirant sur sa ceinture. »
    
    « Oui, d’accord… »
    
    Elle avait d’adorables petits seins coniques et bien fermes.
    
    J’ai commencé à défaire mon pantalon, tandis qu’Hélène me tournait le dos pour faire sauter les boutons du bas de sa robe. Quand elle eut terminé, elle l’ouvrit et la laissa tomber sur le sol. Elle ne portait pas de culotte non plus, et elle avait le cul d’une nana de dix-huit ans, alors que je savais qu’elle en avait trente-deux.
    
    J’ai viré mon caleçon, puis mon t-shirt.
    
    Hélène s’est assise au bord de mon canapé, puis elle s’est mise à se caresser les seins en me regardant m’approcher d’elle, tout nu et la queue droite. Elle a ouvert les cuisses, puis elle m’a dit :
    
    « Elle est grosse, Mathilde ne m’a pas menti. Je veux bien que tu me la mettes dans le cul. »
    
    C’est agaçant, le présent. Il passe trop vite. Surtout quand on ne dispose que d’une demi-heure pour se faire sucer la bite par une jolie petite blonde, pour lui lécher la chatte, pour la pénétrer sans capote, puis pour l’enculer en voyant que l’heure tourne vite.
    
    Et ...