En vacances dans le Sud (5) - Histoires de Sexe

En vacances dans le Sud (5)

... moi. Marie mit un deuxième doigt par la suite ce qui accéléra ma respiration et par la même occasion le rythme de mes coups de langue de ma partenaire.

Johanna se mis à jouir dans ma bouche, j’avalais une grande quantité de cyprine, le reste dégoulinait de sa chatte et coulait légèrement sur le canapé.

« Je vais vous observer quelques instants j’ai besoin de souffler un petit peu, c’était trop bon Thomas. »

Marie retirait ses deux doigts après les avoir laissés quelques instants pour que je m’habitue. Je sentais à nouveau du lubrifiant couler entre mes fesses et compris qu’elle souhaitait passer à la vitesse supérieure.

Elle pointa le bout de son gode ceinture sur ma rondelle et poussa légèrement. Comme il était d’un diamètre raisonnable le bout rentra facilement puis elle se stoppa net et me dit :

« Il faut que tu me guides, dis-moi si je dois m’arrêter, ou si je dois plus m’enfoncer en toi.

— Tu m’as déjà bien ouvert, continu je te dirais s’il faut que tu t’arrêtes »

Dans la seconde qui suivait, le gode continuait de progresser en moi. La douleur était très faible et le lubrifiant faisait bien son travail. D’étranges sensations ...

... parcouraient mon corps qui semblait satisfait de ce corps étranger. Lorsque le gode était presque complètement rentré je lui dis de s’arrêter pour éviter des douleurs.

Johanna en avait marre d’attendre à ne rien faire et me demanda de me relever légèrement, ainsi elle put se glisser en dessous de moi et commença à me lécher la queue de tout son long, puis elle la prit en bouche. Tout ceci m’excita fortement et j’indiquais à Marie qu’elle pouvait commencer à bouger à nouveau.

Ses mouvements de va-et-vient étaient très lents mais cela me procurait un immense plaisir en même temps que ma femme me faisait une fellation. Marie avait compris que j’étais prêt à recevoir ses allers-retours de manière plus intense.

Je sentais que je n’allais plus tenir bien longtemps, ma femme s’activait pour me faire jouir et le traitement que m’infligeait Marie accélérait mes sensations. J’avais deux femmes qui faisaient en sorte que je prenne totalement mon pied, c’était le paradis.

Ne tenant plus je jouissais dans la bouche de ma femme tandis que ma deuxième partenaire se retirait lentement de mon anus. On s’allongeait tous sur le tapis pour reprendre nos esprits.