Engagement oral - Histoires de Sexe

Engagement oral

... peu les jambes et surtout… préviens-nous quand tu seras aux portes de l’orgasme.

Nous commençâmes à faire virevolter chacun notre plume sur son corps offert. Je la chatouillai à la taille, Sylviane lui caressait les seins tandis que Jean-Claude lui caressait lentement l’intérieur des cuisses. Christine se trémoussait légèrement ce qui la rendait encore plus bandante. Je passai alors derrière elle et, passant légèrement la plume entre ses fesses, je déclarai :

— C’est par là qu’elle préfère !
— Ça me donne une idée pour la suite ! dit Sylviane.

Christine gémit mais écarta plus franchement les jambes en sortant les fesses pour prolonger la caresse. Jean-Claude en profita pour lui caresser la chatte. Après environ une minute de ce traitement, Christine demanda grâce :

— Arrêtez ! Vous allez me faire jouir !
— Ça y est ? demanda Sylviane en se rapprochant d’elle.

Elle lui caressa doucement la taille du bout des doigts et Christine fit un « oh » muet de surprise de se voir ainsi caressée par une femme. Sylviane interrompit sa caresse et dit :

— Pauvre petit chou qui a peur de jouir de la main d’une femme ! Tu as tort d’avoir peur… c’est meilleur qu’avec un homme !

Et joignant le geste à la parole elle passa prestement sa main d’avant en arrière entre les jambes de Christine pour y faire trois lents va-et-vient. Christine poussa un cri de surprise et de plaisir. Cette scène nous avait rendus fous de désir, Jean-Claude et moi, mais Sylviane arrêta son ...

... geste.

— Tu es vraiment toute mouillée ! J’ai vu que tu sembles apprécier les caresses anales, j’ai quelque chose qui devrait te satisfaire, enchaîna Sylviane, détachez-la donc.

Nous nous exécutâmes pendant qu’elle s’absentait un court instant. Nous la laissions mener le jeu pour notre plus grand plaisir. Avant de la détacher, Jean-Claude s’offrit un petit plaisir supplémentaire en caressant les fesses d’une Christine sans défense et de toutes façons totalement consentante. Elle revint avec un petit vibromasseur ainsi qu’un tube de pommade et je compris tout de suite où elle voulait en venir.

— Agenouille-toi sur le canapé, dit-elle.

Christine obéit docilement ; Sylviane ouvrit le tube, fit couler une noix de pommade sur son index et l’introduisit dans l’anus de Christine. Elle était plus que réceptive à cette caresse car elle n’avait pas encore joui. Elle massa un moment puis sortit son doigt. Elle enduit le petit vibromasseur de pommade et commença à l’enfoncer lentement dans le cul de Christine. Celle-ci ouvrait grand la bouche en même temps que l’engin s’enfonçait.

— Plus loin ! l’encouragions-nous.

L’engin n’était pas bien gros, ce qui permettait de l’enfoncer facilement.

— Bouge-le ! implora Christine.
— Pas encore. Puisque tu sembles apprécier, j’ai un service à te demander, dit innocemment Sylviane dans un petit rire. Il faudrait que tu satisfasses un fantasme de mon mari, il n’ose pas te le demander, mais il adore les fellations et jouir dans la bouche ...