Engagement oral
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
2couples,
fsoumise,
fdomine,
Oral
fdanus,
attache,
Auteur: Jean-Michel, Source: Revebebe
Après l’après-midi mémorable du récit précédent, Christine cherchait à aller plus loin dans son expérience de soumission. J’avais un peu parlé d’elle à un couple ami de la famille, Jean-Claude et Sylviane, que je savais assez libérés sur le plan sexuel et ils semblaient impatient de faire sa connaissance. Ils nous invitèrent donc, un après-midi d’été, dans leur villa de la banlieue marseillaise…
C’était l’été et je n’avais pas eu besoin d’inciter Christine à s’habiller léger. Elle portait un ravissant chemisier blanc et une mini-jupe qui mettait en valeur ses cuisses magnifiques. Pour ma part, j’avais opté pour un short et un tee-shirt. Nous sonnâmes et entrâmes dans la propriété ; je découvris alors la piscine. Christine me souffla :
— Tu aurais pu m’avertir, j’aurais apporté un maillot.
Je ne suis pas sûr qu’elle me crut quand je lui assurai que je n’étais pas au courant. Elle avait d’ailleurs raison ! Jean-Claude et Sylviane sortirent pour nous accueillir. Ils avaient environ la quarantaine, lui brun aux yeux noisette, elle blonde aux cheveux courts, yeux bleus, fine et souriante. Jean-Claude portait un pantalon tandis que Sylviane était vêtue d’une robe d’été assez longue. Leur tenue tranchait avec la courte jupette de Christine ; celle-ci eut d’ailleurs un effet immédiat sur Jean-Claude que je surpris assez vite en train d’observer ses jambes à la dérobée.
Nous nous installâmes à l’intérieur car le soleil était trop chaud et nous commençâmes à discuter ...
... autour d’un café. Jean-Claude et Sylviane devaient bientôt partir en Thaïlande pour les vacances et la discussion roula assez vite sur les pays lointains et les vacances que Christine et moi ne pouvions pas nous payer pour l’instant car nous étions encore étudiants. Pendant la discussion, j’observai que l’effet produit par Christine sur Jean-Claude grandissait. Il la dévorait des yeux d’autant qu’après le digestif, la conversation avait dérivé sur les massages pratiqués dans ce beau pays… Christine s’était rendue compte de la situation et, échauffée par la liqueur de poire, s’amusait à croiser et décroiser les jambes pour accentuer son trouble. Elle avait sympathisé avec Sylviane et toutes les deux riaient comme des collégiennes. De mon côté, je m’efforçais par jeu de détourner Jean-Claude de l’objet de son désir.
Christine finit par déclarer :
— Quelle chaleur ici ! On n’en peut plus.
Jean-Claude sauta aussitôt sur l’occasion et proposa :
— Mais fais comme chez toi, va te baigner !
— C’est que … je n’ai pas pris de maillot de bain.
— Mais ce n’est pas un problème ! Nous ne sommes pas regardants… renchérit hypocritement Jean-Claude.
— Comment ? Jean-Michel ne t’avait pas prévenu ? Le petit coquin ! Mais, Jean-Claude a raison ; ici, il n’y a pas de tabou, dit Sylviane en regardant Christine dans les yeux.
Je sentais que Christine ne résistait que pour la forme et Jean-Claude, de plus en plus excité, finit par dire :
— De toutes façons, je ne vous laisse pas ...