1. Douce Lola (2)


    Datte: 20/02/2021, Catégories: Hétéro Auteur: SYL30, Source: Xstory

    ... miroir en tournant sur elle même.
    
    — Alors ?
    
    — Tu es superbe.
    
    — Alors je la prends.
    
    Et nous passons à la caisse.
    
    Après cet achat, nous rentrons doucement, elle, toujours très amoureusement collée à moi.
    
    Arrivés chez nous, elle m’amène directement dans la chambre, me pousse sur le lit, me déshabille excepté le soutien-gorge, me caresse avec énormément de savoir-faire. L’excitation, jusqu’alors inconnue que provoquait ses caresses sous le soutif, me donnait l’impression d’avoir des seins. Puis elle revêt « sa petite poupée d’un doux imper » et s’empale sur mon sexe tendu à l’extrême. Elle allonge ses jambes de façon à ce que je me retrouve les jambes écartées. Cette position, insolite provoquant un massage testiculaire me fit exploser prématurément. J’étais heureux et honteux, mais elle n’en fit pas cas. Elle se mit debout et me tirant par les cheveux (sans violence) m’attira à son minou :
    
    — Montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue.
    
    Je m’exécutais avec joie. Je fouillais dans son intimité inondée, elle, en tirant sur mes cheveux m’obligeait à lever les yeux pour la regarder. Elle semblait ravie puis elle jouit comme jamais. Je n’en revenais pas d’avoir été capable de lui provoquer autant de plaisir par ce moyen.
    
    Quand nous sommes revenus sur terre, je lui fais part de ma frustration de ne jamais être celui qui prend l’initiative et d’être toujours dans le rôle passif. Comme d’habitude, elle détourne la discussion en répondant :
    
    — Je n’ai ...
    ... pas l’impression qu’aujourd’hui tu aies été passif avec ta langue, mon p’tit cochon. Si cela peut te rassurer, même avec les filles j’aime prendre l’initiative. Je n’ai pas remarqué que ça te perturbait ... Hein ?
    
    — Non, bien sûr, mais je n’ai pas l’impression de faire ce qu’un homme doit faire.
    
    — Qu’est-ce que tu es bêta ! C’est une réflexion de macho. Si tous les deux y trouvons notre compte, où est le problème ?
    
    — Tu sais que je n’ai pas d’expérience et je ne voudrais pas te décevoir.
    
    — Arrête de te poser des questions et laisse-moi faire. Allez, fais de beaux rêves.
    
    — Toi aussi mon amour, je t’aime.
    
    Le lendemain, alors que je repassais mes fringues pour aller bosser, oui pour le boulot j’aime avoir une tenue correcte. Elle apparaît fraîche, joyeuse et me demande en tournant sur elle même :
    
    — Comment me trouves-tu ?
    
    — Un peu fripée lui dis-je, un peu moqueur, mais parlant de sa robe.
    
    Aussi sec, elle enlève sa robe, écartant les bras de façon à ce que je puise admirer son corps.
    
    — Et là ! Toujours fripée.
    
    Pour tout vêtement, des sandales à talon, un bracelet sur chaque cheville. Elle était magnifique. Elle me tend alors du bout des doigts, le bras tendu, sa robe et me la jette sur la tête en riant.
    
    — Pendant que tu y es ... défripe-moi.
    
    Sans discuter, trop content de lui faire plaisir, je m’exécutais. Une fois terminé.
    
    — Tiens, voilà. C’est fait.
    
    — Merci, je n’en ai plus besoin, tu peux la mettre, j’te la prête.
    
    — PFFFF ! ...