1. Bouteilles, théières, et missiles sol-air


    Datte: 19/02/2021, Catégories: fh, ffh, uniforme, grossexe, bizarre, hotel, Transexuels pénétratio, délire, Humour aventure, merveilleu, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... les hélicoptères qui pouvaient de nouveau décoller.
    
    — Euh… c’est l’armée. Ils sont venus pour…
    — À l’attention des deux hommes sur le toit, beugla justement la voix mégaphonée du maréchal Mac Douglas, veuillez lever les mains et rester immobiles. Un hélicoptère va vous rejoindre. Attention, nous n’hésiterons pas à tirer.
    — Mais pourquoi veulent-ils nous tirer dessus ?
    — C’est un peu compliqué à expliquer, racontai-je en soupirant et en levant les bras.
    — Bon… ne t’en fais pas, je m’occupe de tout !
    
    Soudainement alarmé, je me jetai à terre tandis que Bazouk s’élevait dans les airs.
    
    — Que la paix soit avec vous ! rugit-il d’une voix tonitruante en écartant ses mains ouvertes.
    
    Des tirs de mitraillettes lui répondirent ; des balles le traversèrent même.
    
    — Ils sont trop nombreux pour toi, Bazouk !
    — Ne t’en fais pas ! Je déborde d’énergie !
    
    Et une flopée d’éclairs bleutés sortirent bientôt de ses doigts, irradiant vers le sol dans toutes les directions tout autour de l’hôtel. De nouveaux tirs fusèrent de partout, mais sans le moindre effet sur Bazouk qui continuait bravement d’apaiser l’un après l’autre tous les soldats. Un missile sol-air nous frôla soudain et je commençai à flipper sérieusement et entrepris de ramper jusqu’à la porte qui menait vers l’intérieur de l’hôtel. Mais mon bon génie ne s’arrêtait pas, visant même les types qu’on apercevait à bord des hélicoptères.
    
    — Bazouk ! Viens ! appelai-je en m’engouffrant dans le sas. Ils sont trop ...
    ... nombreux !
    
    Il finit par me rejoindre alors que j’avais descendu une quinzaine de marches. J’espérais surtout ne pas croiser trop de soldats dans les escaliers. En même temps, se taper les cinquante étages à pied leur aurait sans doute pris quelques bonnes minutes.
    
    — Où allons-nous ?
    — Il faut sortir de ce merdier. Peux-tu me rendre mon apparence ?
    — Bien sûr ! C’est comme si c’était fait !
    
    Je reçus un bel éclair bleuté indolore et sentis une fois de plus que je me transformais, et j’eus bientôt tout à la fois un joli corps de femme et une longue barbe épaisse. Bazouk s’agaça :
    
    — Voilà ce qui arrive lorsque j’agis dans la précipitation ! Excuse-moi, Gufti.
    — Non, attends, c’est pas si mal ! L’essentiel est qu’on ne me reconnaisse pas. Enlève juste la barbe, ça fait faux…
    
    Il s’exécuta, après s’être savamment concentré quelques secondes.
    
    — Merci. Et maintenant, tu vas retourner te cacher dans ta théière.
    — Non, je reste à tes côtés pour te protéger.
    — Bazouk, s’il te plaît ! Regagne ta demeure !
    
    Il obtempéra et sembla soudain aspiré par le bas. C’était pratique, finalement, cette formule que nous avait apprise la vieille Kalima. J’attrapai la théière et repris tranquillement ma descente vers les étages inférieurs. Je croisai très vite des escouades venues sans doute sécuriser l’hôtel, mais l’ensemble avait l’air plutôt désorganisé, et le joli minois et les gros seins que m’avait faits Bazouk ne les inquiétèrent pas outre mesure, pas plus que le fait que je me ...
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