1. L'ombre du Passé Ch. 07


    Datte: 19/02/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... ils cessèrent, percluses de douleurs elles se relevèrent et durent se remaquiller avant de s'étendre servilement sur le ventre, tendant leurs croupes cramoisies aux futurs clients, pitoyable, Mokram leur enduisit les fesses d'une pommade apaisante, qui effaça comme par miracle la dou-leur, ne laissant subsister que la chaleur de leurs culs meurtris, puis pré-voyant, il glissa ses doigts dans leurs raies, graissant copieusement leurs goulots.
    
    Lulu, avait saisis Juliette aux hanches, il la levait puis l'abaissait avec violence, la perforant jusqu'aux poumons, elle ne disait mot, elle ne vou-lait surtout pas, en plus lui donner le plaisir de ses plaintes, aussi stoïque supportait-elle son supplice avec résignation sinon avec bonheur.
    
    Enfin au creux de ses entrailles elle sentit sursauter l'ignoble verge, qui se mit à trembler, transmettant ses frémissements aux entrailles palpitantes, soulagée, elle le sentit enfin éjaculer avec force au fond de ses reins soumis, il était temps, son corps était au bord de la trahison, lui aussi voulait jouir.
    
    Elle se leva, et s'essuyant d'une main distraite, elle s'étendit sur le ventre aux cotés de ses compagnes, il ne restait qu'à ouvrir aux clients.
    
    Au siège de l'Association, Mohamed pénétrait dans la pièce qui réson-nait maintenant des râles de plaisir des trois bacchantes.
    
    Solange fouillait maintenant à pleine bouche la cramouille d'Aurore affa-lée sur son torse et triturait à pleines mains les tendres mamelles de ...
    ... Clo-thilde qui gamahuchait Solange.
    
    Deux doigts fichés dans son cul, elle vrillait ses phalanges le plus loin possible dans la gaine souple, écartant et refermant les doigts dans l'étroit conduit, arrachant à sa victime des sursauts violents du bassin . La langue de Solange suivait les babines détrempées d'Aurore, les léchait, les séchait, puis elle pointait dans le con gluant, le titillant lasci-vement, avant de se poser sur le pertuis odorant le forcent de la pointe.
    
    Soudain Solange dans un sursaut de tout son corps malmené par Clo-thilde mordit à pleine dents la chair fragile des babines, Aurore, le corps agité de tremblements fébriles lui jouit dans la bouche, inondant son pa-lais de sa liqueur sucrée, se relevant, elle se précipita derrière Clothilde, lui écarta rudement les jambes, et allongée sur le dos entreprit une dé-lectable feuille de rose.
    
    Emmanché dans le cul d'Arlette, qui trayait de toute la force de ses sphincters la grosse pine le comblant au delà de toute expression, Ali observait son frère qui arrachait les boutons de son jean et se ruait entre les cuisses d'Aurore, s'enclouant jusqu'à la garde dans le con juteux.
    
    Une odeur de foutre se répandait dans la chambre, en sueur, d'un même grognement, les deux mâles se vidèrent au fond des femelles alors que simultanément, Solange et Clothilde, poissaient de leurs secrétions les bouches goulues.
    
    Pendant ce temps les trois élèves en étaient chacune à leur deuxième enculage, leurs rondelles douloureuses ...
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