1. Agathe en pleine figure


    Datte: 19/02/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... commune et provoquerait l’ennui. C’est la rareté qui met du piment dans la vie.
    
    A la douzième photo, Mathilde m’a enjambé en me tournant le dos afin de s’empaler sur ma queue qui était raide et qui a glissé toute seule dans sa chatte trempée. Elle s’est mise à remuer sur mes cuisses, jambes bien écartées, puis elle a dit :
    
    « J’aime la photo où on voit ta bite dans sa bouche. »
    
    Moi aussi j’aimais cette photo.
    
    Et les suivantes où l’on voyait ma bite en train de pénétrer la chatte poilue d’Agathe, tandis qu’elle se branlait le clitoris en regardant l’objectif.
    
    Mathilde m’a dit à un moment donné :
    
    « Il y a des jours où je me demande ce que ça fait d’avoir une bite et de pénétrer une chatte… »
    
    Puis elle a joui en voyant apparaître la quinzième ou seizième photo.
    
    Ensuite, elle s’est retirée et a quitté la pièce pour aller aux toilettes.
    
    Pendant ce temps, je me suis masturbé en regardant la photo suivante. Je crevais d’envie de revenir dans le passé, juste en claquant des doigts. Pour me retrouver dans ce vieux grenier, avec Agathe en face de moi, à poil.
    
    Mais nous n’avons pas ce pouvoir-là. Le passé s’éloigne un peu plus à chaque seconde qui s’écoule, et nos souvenirs s’abîment, s’esquintent en nous faisant du mal. Nous n’y pouvons rien. C’est ainsi.
    
    Ce qu’il nous reste, c’est le présent.
    
    Et le futur, évidemment.
    
    Les photos ont cet étrange et cruel pouvoir qui consiste à nous renvoyer en pleine figure des moments du passé. Sur un simple bout ...
    ... de papier, le passé semble si proche, si intact, presque palpable.
    
    Mais intouchable.
    
    Un peu plus tard dans la soirée, Mathilde a reposé son énième verre de Porto sur la table en me disant :
    
    « Serais-tu d’accord pour me baiser dans la chambre, dans l’obscurité, en imaginant que je suis Agathe ? »
    
    Je commençais à être sévèrement ivre, comme elle.
    
    J’ai accepté.
    
    Le lendemain matin, au moment du petit déjeuner, nous avons échangé peu de paroles. Nous nous étions endormis l’un contre l’autre après avoir baisé dans le noir. J’avais éjaculé sur son ventre, sans dire un mot, puis je m’étais effondré près d’elle, dans ses bras.
    
    C’était un samedi.
    
    Nous sommes allés marcher en centre-ville. Nous avons acheté quelques bricoles dans des magasins et pris un café dans un bar, en suivant des yeux les passants de l’autre côté de la vitre. Je repensais par moments à ce que nous avions fait ensemble la veille, et je savais que Mathilde y repensait aussi.
    
    Il pleuvait un peu ce jour-là, ce qui n’empêchait pas la foule d’abonder dans les rues.
    
    Après le café, nous avons commandé un demi chacun.
    
    Puis, sans décrocher son regard de la vitre du bar, Mathilde m’a dit :
    
    « Si jamais Agathe venait à passer derrière cette vitre dans les minutes qui viennent, lève-toi et va lui demander si elle est d’accord pour faire l’amour avec nous ce soir. Je n’arrête pas de penser à elle. Et si jamais elle ne passe pas, j’aimerais de nouveau que tu me baises dans l’obscurité en faisant ...