1. Agathe en pleine figure


    Datte: 19/02/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... accidentel. »
    
    Puis un temps de silence s’écoula.
    
    J’avais beau me creuser les méninges, je ne me souvenais pas de quelle série de photos il s’agissait. J’avais photographié Agathe à poil des dizaines de fois, dans des dizaines d’endroits différents.
    
    Un long silence, puis Mathilde a dit :
    
    « Elle a un très beau corps. »
    
    Je l’ai regardée sans rien trouver à répondre. J’avais parfaitement en tête le corps d’Agathe. En détail.
    
    Mathilde a ajouté :
    
    « Tu penses à elle parfois ? »
    
    J’ai vidé mon verre cul-sec et répondu :
    
    « Et toi, tu ne repenses jamais à ton passé ? »
    
    « Ne t’agace pas, a-t-elle dit. Je ne te fais aucun reproche, je te pose juste une question. C’est une belle fille et les photos sont très réussies. Tu ne veux pas les regarder pour me dire dans quel endroit c’était ? »
    
    Je me suis resservi un verre sans répondre, puis je suis revenu vers la table basse et à Mathilde qui suivait tous mes gestes.
    
    J’ai répondu :
    
    « A quoi ça va t’avancer de le savoir ? »
    
    Elle a vidé son verre à son tour et s’en est resservi un, puis elle m’a fixé du regard pendant quelques secondes avant de répondre :
    
    « Viens t’asseoir à côté de moi, au lieu de tourner en rond. J’ai envie qu’on regarde ces photos tous les deux. Tu veux bien ? »
    
    Mathilde et moi étions ensemble depuis trois ans. Notre vie sexuelle me semblait normale, même si j’ignorais en fin de compte ce que signifiait ce mot : « Normal ». Disons que nous baisions régulièrement. Deux fois par ...
    ... semaine, en général. Le mardi soir et le vendredi soir. Parfois le samedi, si nous avions la forme. Était-ce normal ?
    
    Je me suis assis près d’elle, à sa droite.
    
    Je me suis resservi un verre de whisky et me suis décidé à ouvrir cette fichue pochette-photo qui remontait à dix ans.
    
    Le premier cliché me fit l’effet d’une décharge électrique dans le bas du ventre. On y voyait Agathe debout, de dos, le visage de profil, vêtue d’un t-shirt noir, ses cheveux bruns détachés ; elle avait baissé son pantalon et sa culotte au niveau de ses chevilles et elle montrait son cul à l’objectif. Un superbe cul, tout blanc, les fesses bien fermes.
    
    « Alors ? dit Mathilde. C’était dans quel endroit ? »
    
    J’ai soupiré :
    
    « Dans le grenier d’une maison abandonnée. La lumière tamisée venait d’un velux envahi de toiles d’araignées. »
    
    Elle souriait.
    
    « C’est vraiment une belle lumière, dit-elle. »
    
    Puis elle passa à la photo suivante.
    
    Agathe avait ôté son pantalon et sa culotte, mais conservé son t-shirt. C’était une pose très simple : elle était debout au milieu de ce grenier, le cul à l’air. Et je me suis mis à bander.
    
    « Elle a vraiment de belles fesses, dit Mathilde. »
    
    Je n’ai pas répondu.
    
    Sur la troisième photo, Agathe tournait toujours le dos à l’objectif et elle ôtait son t-shirt. Elle ne portait pas de soutif dessous et elle était pieds nus sur le plancher de ce grenier.
    
    Je me souvenais parfaitement de cette journée-là. Il faisait chaud et nous parlions tout en ...
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