La fin de mes complexes sur la taille de mes seins - Histoires de Sexe

La fin de mes complexes sur la taille de mes seins

... Philippe ! dis-je d’un ton sec mais pas agressif.

Pas de réponse.

— Philippe, je sais que tu es là. Ne fais pas le gamin. Je veux te parler.

Toujours pas de réponse.

— Comme tu veux, Philippe. J’en parlerai aux filles tout à l’heure et tu expliqueras à tes potes pourquoi il faut que vous changiez de camping. Je m’apprêtais à retourner à ma tente quand la fermeture s’ouvrit. Je vis sa figure rouge de honte apparaître. Il bafouilla quelques mots du genre :
— Je m’excuse, je ne le ferai plus, j’ai été con…

Je lui demandai si on pouvait continuer la conversation à l’intérieur. Il accepta et on s’assit sur les chaises de camping dans l’auvent et on discuta.

— Pourquoi as-tu fait ça. Ce n’est pas bien d’espionner les gens, tu sais ?
— Tu as raison, je m’excuse, mais je te trouve si belle.
— Quand on trouve une fille belle, on peut le lui dire, non ? plutôt que de la mater…
— Je m’excuse, tu as raison mais je suis timide et je ne sais pas comment faire.
— Arrête de t’excuser sans arrêt ! C’est bon, j’ai compris ! Mais j’ai du mal à croire que tu ne saches pas comment faire, quand même.
— Si, c’est vrai, je suis puceau et je n’ai jamais vu de fille nue en vrai, seulement sur le Net.

À ce moment, je me sentis troublée par cette naïveté et assez flattée qu’il me considère comme quelqu’un de désirable. Je choisis de donner une autre tournure à notre discussion.

— Et tu as été déçu ?
— Non, tu es vachement belle !
— Tu ne me trouves pas trop grosse ?
— ...

... Non, tu as un corps superbe.
— Qu’est ce que tu aimes chez moi ?
— Tes seins, ils sont magnifiques !
— Tu as eu le temps de bien les voir ?
— Un peu, mais ils sont très beaux.

Je le pris par la main. Il eut un mouvement de recul. Il se demandait ce qui allait se passer.

— Détends-toi, ne t’inquiète pas…

Je l’emmenai dans sa chambre, l’une des deux de la tente où ils étaient installés. La discussion m’avait excitée et j’avais envie de profiter de la situation, ce qui était, somme toute, la moindre des choses.

— Montre-moi que tu as compris la leçon.
— Je suis désolé, je ne le ferai plus.
— Non, tu n’as pas compris. Dis-moi ce que tu aurais dû me dire plutôt que de me mater en cachette.
— Tu es très belle, Maelys.(Sans conviction…)
— Quel enthousiasme !
— Tu es très belle, j’aimerais bien sortir avec toi !
— C’est mieux ! Qu’est-ce que tu trouves beau chez moi ?
— Tout, mais je trouve que tu as de très beaux seins.
— Tu veux les voir ?

Philippe a les bras qui tombent. Il ne s’attend pas à cela.

— Oui, ce serait génial !

J’ai enlevé mon t-shirt blanc et mon soutien-gorge. Philippe n’en perdait pas une miette et resta figé, les yeux rivés sur ma poitrine dévoilée.

— Tu peux les toucher tu sais ! Les filles aiment bien ça !

Il s’approcha de moi et prit mes seins à deux mains, ce qui amplifia l’érection de mes tétons déjà durcis par le caractère excitant des circonstances.

— Touche-moi les tétons et les aréoles…

Il s’exécuta avec une ...