La fin de mes complexes sur la taille de mes seins
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
complexe,
vacances,
douche,
Masturbation
intermast,
init,
confession,
camping,
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
C’était lors de mes premières vacances toute seule que j’ai perdu mon complexe sur la taille de ma poitrine.
Je venais juste d’avoir 18 ans(je sais, cela a déjà été fait). Mon bac en poche, on est parti à trois copines en vacances dans un camping de l’arrière-pays niçois.
On a planté notre tente en face – on n’a pas choisi – de deux tentes de quatre garçons qui étaient dans la même situation que nous, en vacances, après le bac. Dans ce groupe, il y en avait un qui était très grand (sans doute deux mètres ou pas loin). L’observation mutuelle, naturelle, nous a rapprochés. Les garçons ont tenté des approches plus ou moins fines. C’était très sympa malgré tout. Au bout de quelques jours, nous étions plus ou moins amis et nous avons partagé quelques repas du soir – tard – autour de nos tables de camping, mises en commun. Le grand gaillard, qui se prénommait Philippe, jetait souvent des regards timides vers moi et notamment mon buste, pourtant masqué par des t-shirts assez amples pour ne pas me mouler les seins. Il détournait rapidement le regard dès qu’il avait l’impression que je pouvais m’en apercevoir.
Plage, activités diverses, notre première semaine de vacances s’était vraiment bien passée.
Un matin, j’étais restée seule au camping. Les filles étaient parties faire des courses et je devais de mon côté, faire du rangement. Trois des quatre garçons, sportifs, avaient décidé de partir en randonnée pour la journée dans les montagnes environnantes. Restait ...
... Philippe, qui ne partageait pas les goûts de ses camarades pour les efforts sportifs.
Les filles devaient revenir en milieu d’après-midi et j’avais traîné, dans ma tente, lisant et écrivant quelques cartes postales. À 11 h, je me suis secouée un peu et je suis allée prendre ma douche. Les deux blocs pour les femmes et les hommes avaient des entrées séparées mais étaient installés dans le même bâtiment.
Je débutai ma toilette, me savonnai et commençai à me rincer. Les pommes de douche, fixées, ne permettaient pas de se faire du bien, mais l’eau qui coulait entre mes cuisses me donnait quelques envies et j’envisageais sérieusement de me donner un petit plaisir en enlevant la mousse de mon intimité.
Par réflexe (les murs avaient deux mètres, quand même), j’ai levé la tête pour vérifier que la confidentialité de mon acte était préservée. Surprise, la tête de Philippe dépassait du mur du fond de ma douche. Mes mains se portèrent instinctivement sur ma poitrine et ma vulve, afin de les cacher. La tête de Philippe disparut et je l’entendis sortir rapidement de sa cabine. Je finis de me rincer, sans pratiquer le petit plaisir que je m’étais promis, m’habillai et sortis du bloc, à la fois gênée d’avoir été observée à mon insu mais aussi un peu excitée d’avoir été l’objet de l’envie d’un garçon de voir mon corps.
J’arrivai à ma tente et jetai un œil sur celle de Philippe, fermeture éclair remontée. Je posai mes affaires dans ma tente et me dirigeai vers celle de Philippe.
— ...