1. On sait comment ça commence... (1)


    Datte: 17/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bobby1, Source: Xstory

    ... nous le mations à notre tour, il défit sa braguette et sortit son engin.
    
    — Quelle bite ! me chuchota-t-elle.
    
    — Je ne t’avais pas menti. Ça t’excite ? lui demandai-je.
    
    Pour toute réponse, elle se lécha la paume de la main pour la lubrifier et m’attrapa la verge. Elle m’embrassa et se remit à me branler.
    
    Elle tourna à nouveau la tête en direction de l’énorme sexe de notre voisin.
    
    — Ça t’intrigue ma douce, hein ? lui soufflai-je.
    
    — Oui, j’ai envie de la toucher. Je peux ? me demanda-t-elle.
    
    Je n’eus pas le temps de répondre. Monsieur Gros Membre l’entendit et lui tendit son sexe.
    
    Tout d’abord, elle l’effleura du bout des doigts, puis elle se redressa sur son fauteuil et s’en empara.
    
    Elle entreprit alors de le branler lui aussi.
    
    Voir ma femme ainsi, me rendit fou d’excitation. Je faillis jouir.
    
    Je me concentrais alors sur son sexe. Je lui branlais le clitoris quand je sentis la main du voisin rejoindre la mienne. Je lui passai le relais et glissai alors ma main sous les fesses de ma belle.
    
    J’introduisis un doigt dans son vagin et commençai des va-et-vient.
    
    Sa main descendit et il se joignit à moi pour approfondir la pénétration.
    
    Elle suffoquait sous nos assauts conjoints, abandonnés à nos caresses.
    
    Elle soufflait des oui, des encore.
    
    Deux mains surgirent alors de derrière elle et se mirent à lui peloter les seins, avant de plonger dans son décolleté pour en extraire sa poitrine généreuse.
    
    La surprise fût pour Monsieur Gros ...
    ... Membre et moi-même.
    
    Ma femme était ailleurs, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte et elle ne vit pas que ces mains n’étaient pas les nôtres.
    
    Elle semblait en transe.
    
    Aucun de nous ne parla et nous laissions faire le peloteur qui malaxait avec application ses beaux seins.
    
    Les mains cessèrent leur pétrissage et disparurent.
    
    Nous les remplaçâmes.
    
    Je voyais que mon camarade de jeu était tout aussi concentré que moi sur ses gros seins, jouant avec ses tétons durcis. Son autre main s’appliquait à lui branler le clitoris.
    
    Quant à moi, ma main quitta son vagin humide pour entreprendre de lui titiller son petit trou.
    
    Mon épouse bascula la tête en arrière en poussant un petit cri.
    
    Ce n’est que quelques instants après que j’aperçus que les mains du peloteur avaient laissé place à un sexe que ma femme suçait avec fougue.
    
    Je n’en revenais pas.
    
    J’entraperçus le visage du chanceux et je vis qu’il était sur le point de jouir. J’attrapai ma femme par la nuque pour l’embrasser et lui éviter de recevoir la semence inconnue dans la bouche.
    
    Elle me regarda et me dit qu’elle n’en pouvait plus qu’elle voulait que je la prenne.
    
    — Moi aussi, j’ai envie toi ma chérie. Viens.
    
    Nous nous rhabillâmes à la hâte, prîmes nos affaires et partîmes.
    
    En passant devant notre camarade de jeu improvisé, j’avais indiqué qu’il était invité à nous rejoindre, s’il le souhaitait.
    
    Hors de la salle, je pris la main de ma femme et l’amena vers les toilettes des hommes. J’entrai ...
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