1. On sait comment ça commence... (1)


    Datte: 17/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bobby1, Source: Xstory

    ... était une comédie faite pour se vider la tête, avec des gags parfois un peu lourdauds, souvent au-dessous de la ceinture. Du moins est-ce ainsi que nous l’avions deviné à travers la bande-annonce.
    
    Dès le début, quelques saynètes comico-érotiques éveillèrent ma libido et me rappelant la promesse faite au parc à Madame, je commençai à lui prodiguer quelques caresses très discrètes.
    
    L’action était d’autant plus délicate et excitante du fait de la proximité immédiate d’un voisin.
    
    Je compris qu’elle était réceptive quand elle se mit à me tripoter l’entrejambe.
    
    Je passai une main sous sa robe et très doucement, j’effleurai son sexe à travers son collant.
    
    Elle modifia légèrement sa position pour s’ouvrir un peu plus. Je sentis rapidement l’humidité de son excitation traverser les tissus. J’insistai un peu plus.
    
    Elle se mordit la lèvre et poussa un soupir un peu fort. Mon sexe durcissait.
    
    La salle riait, le voisin de ma femme un peu trop bruyamment à mon goût.
    
    Je me penchais vers l’avant pour le lui signaler et, mais avant d’ouvrir la bouche, je m’aperçus avec stupeur que c’était Monsieur Gros Membre.
    
    Je me rendossai promptement à mon fauteuil.
    
    À l’oreille de mon épouse, je déclinai « l’identité » de son voisin.
    
    Elle gloussa et continua ses caresses, se penchant un peu plus vers moi, son derrière orienté vers son voisin. Je repris les miennes. Cette fois, je la pelotai délicatement.
    
    Peu après, une scène d’extérieur montrait un couple au clair de ...
    ... lune se roulant dans l’herbe à moitié nu avant d’être surpris par un arrosage automatique. La salle rit.
    
    — Ça me rappelle quelque chose.
    
    Je me raidis.
    
    — Mais poursuivez, dit-il. Je ne vous dérangerai pas plus maintenant que je ne vous ai dérangé dans le parc tout à l’heure.
    
    Nous étions pris. Nous échangeâmes un regard avec femme. Elle avait les yeux mi-clos.
    
    — Tu veux qu’on lui refasse la scène mon chéri ? me murmura-t-elle. Comme ma raison s’était évanouie dans le parc, ma douce semblait ne plus avoir de tabou.
    
    Je fus aspiré par un tourbillon de sentiments, mêlant peur et excitation.
    
    Ma femme me susurra un « je t’aime » et elle entreprit alors de sortir mon sexe de mon pantalon et se mit à le branler avec des mouvements à la fois doux et appuyés.
    
    Je vis que l’autre nous matait.
    
    — Ça va mon chéri ? me dit-elle.
    
    — Oui, tu m’excites ma belle, je suis en feu.
    
    Je n’y tenais plus. Je glissai ma main entre ses cuisses et repris mes caresses sur son clitoris.
    
    D’une main, sans que je ne la vis faire, elle descendit son collant. Mes doigts écartèrent la petite culotte et j’introduisis un doigt puis deux.
    
    Elle s’agrippa aux accoudoirs. Je commençais des mouvements de va-et-vient, elle eut du mal à réprimer quelques gémissements, heureusement couverts par les rires.
    
    Je jetai un coup d’œil à côté d’elle.
    
    — Regarde ton voisin. On dirait qu’on lui fait de l’effet.
    
    Il avait la main dans le pantalon. Il se masturbait.
    
    Quand il s’aperçut que ...
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