1. Un chien qui s'ignore 16


    Datte: 16/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... suivais docilement, faisant de mon mieux, pour ne pas décevoir maitresse dont je suivais les bottes brillantes.
    
    Cette séance de léchage m’avait excité et je ne rêvais que de pouvoir à nouveau m’approcher de ces bottes, montrer ma dévotion. Mon gland était gonflé, douloureusement écrasé par son grillage, mes couilles gonflées de désir me tapaient les cuisses en cadence. Mes pattes avant et mes genoux munis de leurs petits ergots raclaient le sol comme une réplique ridicule aux claquements de ces talons majestueux qui résonnaient à travers l’espace.
    
    Nous étions entrés dans un entrepôt apparemment abandonné. Des détritus de dépôts sauvages jonchaient le sol. Aucune personne, aucun bruit excepté la réverbération des talons de Nolwenn.
    
    J’étais éreinté de la veille, ma gorge me brulait, des coulées de sperme dégoulinaient sur mes cuisses. Je me sentais vraiment misérable et ridicule, vulnérable et repoussant.
    
    Devant moi, ma magnifique déesse me tirait par ma laisse, ondulant du bassin sans un regard pour moi.
    
    J’acceptais docilement mon sort.
    
    J’étais inquiet de ce que j’allais devoir subir. Ma mâchoire était encore engourdie. Je n’osais même pas imaginer l’état de mon anus.
    
    Finalement, Nolwenn poussa une grosse porte métallique et nous entrâmes dans un atelier crasseux, éclairé au néon. Le sol était noir de limaille de fer et de chutes de ferrailles éparses. J’étais content d’avoir mes pattes protégées. Je levais mes pieds nus pour ne poser à terre que mes ...
    ... genoux protégés. Une odeur de brûlé m’inquiétait. Je tournais la tête en tous sens : personne.
    
    C’était un atelier de métallurgie avec ses postes à souder, ses établis, ses presses. Une musique de heavy métal saturait un vieux poste de radio hors d’âge poussiéreux. Nolwenn attacha ma laisse à un étau couvert d’huile et alla frapper à la porte vitrée d’un bureau au fond.
    
    Un homme tout en muscle revint avec ma maitresse. Il trainait une odeur de brulé et de graisse avec lui. Il portait une épaisse salopette de travail noirâtre. Une chemise déchirée retroussée sur des avants bras noueux et tatoués laissait apparaitre un poitrail robuste tatoué également. Ses cheveux raides et gras étaient noués en couette, des piercings recouvraient ses oreilles.
    
    Il me regardait amusé et dégouté à la fois. Il se tourna vers Nolwenn qui paraissait si menue et si rayonnante devant cette brute.
    
    ‘Ah ouais d’accord, je comprends ta demande spéciale en voyant la tronche de ton’ chien’ .C’est quoi ce dégénéré ? C’est quoi son trip ?
    
    -Oh son trip c’était de sauter toutes les nanas qui passaient. Mais je l’ai dressé et regardes le résultat ! Tu vois je ne t’ai pas menti.
    
    -Putain ma salope, tu l’as bien dressé !
    
    -Ah ça oui ! Maintenant c’est une chienne vide couille. Et regarde son cul qui déborde encore de sa séance d’hier.
    
    -C’est dingue ce que tu en as fait !
    
    -Hum mais tu sais, les hommes j’en fais ce que j’en veux (elle minaudait et frottait l’entrejambe de la brute) : une bête de ...