Un chien qui s'ignore 16
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Anal
Auteur: perver38, Source: xHamster
Il faisait jour quand on me déposa dans le fourgon de Nolwenn, à moitié groggy. Elle roula longtemps et malgré le roulis je me rendormi.
C’est l’arrêt du moteur qui me réveilla.
Elle ouvrit la porte arrière et le soleil pénétra dans l’habitacle. J’étais avachi au sol, la peau collante et le visage couvert de résidus séchés, comme devaient l’être mon cul et mon sexe après ma journée d’hier.
Elle, montait dans le fourgon, provocante comme jamais, mains sur les hanches, une paire de bottes recouvrait son jean moulant, une ceinture large affinait sa taille fine, un teeshirt blanc tout aussi moulant soulignait sa fière poitrine.
Elle était parfumée et maquillée.
Son silence et son regard amusé et hautain me révélèrent sa toute puissance et sa victoire.
Instinctivement, je me levais sur mes pattes et rampais mollement jusqu’à ses bottes et me mettais à les lécher.
Je savais que c’était la première fois que je lui rendais cet hommage de moi-même. Quelque chose en moi était rompu.
La Nolwenn d’avant n’existait plus pour moi. Cette nouvelle Nolwenn avait façonné mes perceptions, m’avait brimé et détruit. Ce que j’étais devenu était son œuvre, sa volonté. Elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait. Je la craignais plus que tout. Je craignais aussi ma femme ou Mme Laurence. Ma femme voulait sa vengeance et me faire payer ‘ses années perdues ‘, Mme Laurence agissait pour me voir devenir un sous hêtre.
Nolwenn, elle, prenait plaisir à façonner le chien, la ...
... pute à bite que j’étais devenu. Je n’en doutais plus maintenant, elle m’avait tendu un piège et comme une mouche stupide dans la toile collante, je m’étais cru plus fort qu’elle. Elle m’avait enveloppé dans sa soie et je n’avais plus qu’à obéir si je voulais continuer à vivre. Elle n’avait aucune limite.
Je léchais maintenant la tige de ses bottes en cuir. Son silence et son observation de ma docilité était clair. Clair comme un tampon frappé sur un document officiel : ce chien a dés cet instant accepté son statut.
‘Bon chien, ça ! Lèches l’autre botte maintenant !’
Peu importaient mes douleurs, ma fatigue ou mes courbatures, maitresse Nolwenn appréciait mes coups de langue et me permettait de continuer ! J’y mis tout mon cœur ! Sa botte devait reluire !
Elle s’accroupit près de moi, je continuais mon travail sur la tige délicieusement plissée de ses bottes. Elle me passa ma laisse. Elle prit mes pattes avant l’une après l’autre et me passa une sorte de moufle rigide en cuir, fermée par une lanière sur le poignet. Mes poings étaient fermés, mes poignets rigidifiés. Je dus malheureusement arrêter ma tâche pour qu’elle équipe également mes pauvres genoux meurtris d’une semelle rigide fermée par derrière.
Je parvins à descendre tête la première du fourgon et me retrouvais à suivre maitresse Nolwenn en trottant derrière elle. Mes pattes ainsi équipées étaient pourvues de petits ergots métalliques qui claquaient sur le béton, comme les griffes d’un bon chien. Je ...