1. Balade à Lille


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... le dos. Sur le moment, je ne comprends pas. Valentin, lui, semble avoir compris puisqu’il se rapproche encore plus de moi, se collant à moi tandis que son autre main relève ma jupe. Je suis hésitante ; ne va-t-on pas nous voir ? C’est alors que je réalise que mon mari sert d’écran. Rassurée, je soulève un peu mes fesses pour lui faciliter la tâche.
    
    Jambes écartées, jupe relevée au maximum, je jette mes bras derrière moi, buste en avant, offerte, tandis que des doigts agiles et doux s’égarent dans ma fente humide, m’infligeant des tourments bien plaisants !
    
    Ce petit cochon de Valentin sait bien s’y prendre car ça me remue considérablement dans le bas du ventre. Il faut dire que depuis dix heures du matin, j’ai un peu… beaucoup envie ! Le moment est enfin arrivé de me libérer de cette tension accumulée depuis quelques heures, de ce jeu de se tourner autour, de s’exciter sans consommer. Je ne sais pas au final qui a gagné… Lui, moi, nous deux, personne ?
    
    Pour l’instant, je profite du plaisir qu’il m’offre, ici dans ce parc en plein air, avec du monde pas trop loin, à l’ombre, sous une bonne brise fraîche. Bien que de temps à autre je jette un petit coup d’œil afin de vérifier si personne ne nous voit.
    
    — Laisse-toi aller, me murmure Valentin de sa belle voix.
    
    Ça me donne plein de frissons… Alors, lui obéissant, je ferme les yeux et je me laisse aller. Je sens entre mes jambes ses doigts agiles qui me caressent, me titillent très agréablement, ses doigts chargés de ...
    ... cyprine dont je dégouline à présent, tant mon envie est forte ! Valentin accentue de plus en plus sa délicieuse torture, j’en frémis d’aise ! Ma respiration se saccade, mes bras tremblent un peu, mon ventre est tout chaud…
    
    Je saisis le bras de Valentin pour mieux le guider : je veux encore plus de plaisir, je veux que ce soit lui qui me le donne, que ce soit à lui que je m’abandonne ! Je plaque ma tête sur son épaule, je vibre de toute part, mon cœur bat la chamade. Ma jouissance est prête à bondir, à jaillir, à exploser en mille étoiles. J’enfonce mes ongles dans sa chair ; la vague arrive, elle vient, je serre les dents pour ne pas crier ! La lame de fond déferle, elle me submerge, me ravage, me dévaste tandis que je me débats sous ses ravages !
    
    Je suis morte, allongée au sol, les bras en croix, le souffle court, mon corps parcouru de fins tremblements diffus… Au-dessus de moi, mes deux hommes qui me contemplent, avec cette lueur indéfinissable dans les yeux…
    
    Toujours dans cette chaleur un peu étouffante, nous revenons vers la gare. À nouveau accrochée aux bras de mes hommes, j’en profite encore un peu avant le départ ! Même si je suis très contente, il y a cependant deux bémols dont je fais part :
    
    — Il fait vraiment chaud ! Et j’ai de plus en plus mal aux pieds !
    — Bientôt à gauche, il y a une entrée ; elle est peu connue.
    — Une entrée de gare peu connue ? Comment ça ?
    — Tu verras par toi-même.
    
    En effet, lorsque nous arrivons devant, nous découvrons une ...
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