1. Balade à Lille


    Datte: 15/02/2021, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... laisser-aller !
    — L’air du Nord ne me vaut rien…
    — Je sais : le relâchement des mœurs est proportionnel à l’éloignement ! Pourtant, il n’y a même pas cinq cents kilomètres entre Lille et Dijon ! Faut pas demander le jour où tu seras nettement plus loin !
    — Ça dépendra aussi de si tu seras là ou pas…
    — Je vais finir par croire que j’ai décidément une mauvaise influence sur toi !
    
    Nous nous descendons l’escalier pour plonger dans ce petit parc. Au fond, nous avisons des arbres un peu à l’écart. Une fois arrivée sur la pelouse, j’enlève mes talons-aiguilles ; j’adore marcher pieds nus dans l’herbe. Parti une fois de plus devant, Pascal choisit un endroit et s’y installe en s’asseyant dans l’herbe :
    
    — Ici, c’est bon. Et vu les autres arbres qui sont dans l’axe, on ne sera pas trop visible…
    — OK, va pour ici !
    
    Mon mari a toujours eu l’œil pour ce genre de choses… Je me demande où il a bien pu apprendre ça ; à moins que ce ne soit son côté pervers qui explique tout ceci !
    
    J’ôte mon gilet et je l’étale au sol afin de m’asseoir dessus. Bien sûr, mes hommes se font un plaisir de ne rien perdre de mes mouvements. À peine installés, ils viennent m’encadrer, mon mari à ma droite et mon ami à ma gauche. Complètement allongée, les bras derrière la tête, je prends un peu de repos, mes pieds dans l’herbe.
    
    Faussement innocemment, mon mari caresse ma jambe. Il est très vite imité par Valentin. Je me laisse faire. Pourquoi serais-je contre deux hommes rien qu’à moi ?
    
    — ...
    ... Tout va bien, Messieurs ?
    — Impeccable !
    — Pas mieux !
    — Eh bien, tant mieux !
    
    Je me redresse, je jette un petit coup d’œil circulaire, puis posément mes deux mains se posent sur les braguettes de mes voisins. Sans me démonter, je tâtonne un peu, je serre même un peu les doigts pour vérifier la rigidité, puis je déclare doctement :
    
    — Hum hum, je suis contente : vous bandez tous les deux !
    — Tu en es vraiment sûre et certaine ? Juste un effleurement que tu nous as fait là…
    
    Et pour donner raison à mon mari, je tâte à nouveau plus longuement et de façon nettement plus appuyée. C’est alors que celui-ci glisse sa main sous ma jupe et s’en va se nicher tout en haut de mes jambes. Assez surprise, je ne réagis pas tout de suite et je l’entends dire :
    
    — Tu transpires beaucoup, ma chérie !
    — Oui, c’est normal, il fait chaud !
    — Tu transpires vraiment beaucoup beaucoup !
    — T’exagères !
    
    Il ôte sa main ; ses doigts sont luisants, puis il dit :
    
    — Valentin, pourrais-tu vérifier la transpiration de Nella, s’il te plaît ?
    — D’accord, deux avis valent mieux qu’un seul ! répond l’intéressé.
    
    Et c’est à présent la main de Valentin qui s’engouffre sous la jupe. Docile, j’écarte un peu plus les jambes pour lui faciliter le passage. Consciencieux, il s’applique à vérifier mon degré de transpiration, tandis que je frissonne d’aise.
    
    — Beaucoup, beaucoup, je confirme !
    
    Ce n’est pas pour autant qu’il enlève sa main. Pascal se redresse un peu, pivotant, me tournant presque ...
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