1. La joueuse invétérée


    Datte: 15/02/2021, Catégories: f, fh, ff, ffh, jeunes, ascendant, Collègues / Travail bizarre, école, fsoumise, fdomine, vengeance, dispute, miroir, Masturbation Partouze / Groupe fsodo, jouet, sm, BDSM / Fétichisme policier, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... te l’accorde !
    
    Je m’approche de lui pour l’amadouer : sans plus tarder, il tripote déjà mes seins sous mon corsage.
    
    — Attends un peu de savoir de quoi il s’agit avec de t’exciter ! J’aimerais que tu me fabriques une bombe pour faire exploser une voiture.
    
    Il se fige soudain.
    
    — Une voiture du genre…
    — Genre gros SUV. Possiblement blindé, je ne sais pas. En face, il faut du lourd.
    — Avec ce que tu caches sous tes vêtements, si tu veux, je te construis une bombe atomique, dit-il en me malaxant les mamelons sans ménagement.
    — Je ne veux pas de victime innocente.
    — Juste quelques enfoirés contre lesquels tu as une dent.
    — Exactement. Et pas trop de questions, s’il te plaît.
    — C’est ton affaire, je ne veux pas le savoir. Mais ça va te coûter le grand jeu…
    — Si l’anatomie que je possède te tente, tu peux prendre tout ce que tu veux. C’est tout ce que j’ai à t’offrir en échange.
    
    Il me tripote les cuisses et les fesses, me flaire comme un animal suspectant qu’on lui donne une nourriture avariée, puis il se décide à défaire les boutons de mon corsage, à toute vitesse. Je lui laisse l’initiative jusqu’à me retrouver en petite culotte qu’il abaisse avec la délectation d’un affamé devant de la providentielle nourriture. Puis il se jette littéralement sur moi, abaisse son pantalon et me pénètre sur la paillasse, en levrette – avec un préservatif, quand même, car il en garde toujours une boîte à portée de mains. Non, je n’aime pas les hommes. Mais c’est pour sauver ...
    ... Quentin.
    
    Comme convenu, je le laisse disposer librement de mon corps. C’est une étrange sensation, à mi-chemin entre la volupté mécanique causée ses stimulations et l’écœurement. L’homme n’est pas délicat, mais pas violent non plus. Juste avide de femmes. Insatiable. Quand il se lasse de mon vagin, il me retourne, les cuisses relevées, et je me cambre afin qu’il me sodomise en tenant mes fesses à pleines mains et en s’agitant comme un fou, les yeux exorbités, l’écume aux lèvres, en nage. Dans un état second, il est en transe et me baise jusqu’à l’épuisement. Quand il me parle, ce qu’il dit est incompréhensible : je ne sais pas si ce sont des mots d’amour ou des injures misogynes, d’une voix étrange, comme un hurlement de loup ou autre bête sauvage. J’ai peur que dans sa rage de baiser, il fasse une crise cardiaque, une épectase en plein labo parmi ses fioles dont certaines se brisent en tombant au sol dans le feu de l’action. Il fait ce qu’il veut de sa vie, mais dans l’immédiat, j’ai besoin de lui.
    
    Mon corps lesbien souffre de l’intrusion masculine dans cette zone intime, mais il est nécessaire que j’expie, en éprouvant cependant une joie sombre au milieu de cette douleur érotique : un mélange bizarre de plaisir et de révulsion. Cher lecteur, toi qui te masturbes derrière ton écran, je t’autorise à m’agonir d’une bordée méritée de qualificatifs orduriers, et même à cracher sur mon visage, car c’est bientôt celui d’une triple meurtrière qui se sert de ses charmes pour ...