1. De la Fertilité des Galliformes


    Datte: 15/02/2021, Catégories: hh, ffh, hbi, prost, hépilé, handicap, hotel, hsoumis, strip, Transexuels facial, Oral légumes, hdanus, hsodo, fouetfesse, exercice, historique, Humour Auteur: Amanite, Source: Revebebe

    On raconte beaucoup de choses fausses sur ces fameux Sumériens d’avant le bronze. On prétend notamment qu’ils n’inventèrent pas l’écriture cunéiforme – et ainsi le premier alphabet – mais que leur graphie tenait plutôt du rébus, voire du SMS, par emploi abusif de certains pictogrammes pour leur valeur phonétique.
    
    De fait, l’écriture cunéiforme fut bien inventée en 3000 avant Jésus Christ par un scribe d’Uruk mais, pour des raisons que nous tenterons d’expliquer par la suite, cette idée remporta un succès mitigé et fut totalement ignorée pendant la quasi-totalité des deux mille ans qui suivirent. L’écrit, privé de cette inspiration géniale, poursuivit donc son lent travail d’évolution vers la rapidité, la souplesse et la rationalisation par le processus habituel : les fautes d’orthographes. Le résultat fut le même, mais deux mille ans d’évolution furent perdus bêtement.
    
    Le lecteur éclairé aura sans doute remarqué que cette vérité historique fut consignée dès le début du siècle par le poète grec Mycos Venenos Papayoumorphis sous le titre « Olorimie du Concours 113 ». Pour mémoire, revoici la substance du célèbre sonnet, qui à lui seul justifie les explications qui vont suivre :
    
    D’autre part, toujours au registre révisionniste, des esprits pernicieux – pour des raisons obscures – soutiennent au mépris de toute évidence que ce peuple formait une société métissée et tolérante. Nous pouvons dors et déjà vous assurez qu’il n’en était rien, comme le prouvent les faits que ...
    ... nous allons à présent nous efforcer de relater avec la plus grande rigueur et un remarquable souci d’acuité historique.
    
    Mais notons avant tout que notre autorité fait foi en la matière et ne saurait être mise en doute d’aucune manière, la preuve en étant que nous nous referons à nous-même au pluriel. La véracité des faits ci-après relatés n’est par conséquent pas discutable. Seuls les noms ont été changés, pour des raisons que nous ne souhaitons pas approfondir.
    
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    D’abord, avant toute chose, il faut savoir que les Sumériens étaient fortement influencés par les mouvements de mode et les tendances de l’époque. La génétique consanguine les avait bien aidés pour cela : tout le monde était brun aux yeux noirs, même parmi les peuplades barbares avec lesquels les Sumériens commençaient à peine à commercer. Certains enfants, cependant, naissaient absolument imberbes, sans explication. Cette infirmité pilaire les condamnait à vivre en reclus, cantonnés à des tâches purement administratives ou religieuses. Nombre d’entre eux devinrent scribes et travaillèrent dans les palais des seigneurs locaux, tâche à laquelle ils excellèrent.
    
    Ceci étant dit une fois pour toutes, nous ne nous attarderons pas (trop) à décrire la couleur des yeux et cheveux des protagonistes dans la suite du présent récit, le nombre de caractères étant limité par notre aimable directeur d’édition.
    
    Il est également important de noter que, si les Sumériens n’endossent peut-être pas la paternité officielle ...
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