Alicia et son papa (15)
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... compte, malgré mon appréhension. J’enfouis mon visage dans la fourche offerte et passai la langue de bas en haut ; je l’insérai facilement dans la fente humide, provoquant des frémissements incontrôlés dans le bas-ventre de Marine. Ses hanches roulaient, son pelvis se tendait vers moi, en quête de plaisir.
Je m’appliquais, d’autant que j’aimais bien les effluves féminins et le jus suave que je buvais goulûment. Marine posa une main tremblante sur mon chignon, écrasant mon nez contre son pubis. J’aspirai alors son clito érigé et le mordillai ; ce fut le coup de grâce : la jeune femme jouit et inonda ma bouche de flots de cyprine que je bus avec grand plaisir.
C’est quand même sympa de conduire une femme à l’orgasme, de la faire danser sur ma langue et de boire son jus. Je ne sais pas si elle m’en saura gré, mais sinon, tant pis. Pour moi, c’est une parenthèse agréable, un moment de tendresse, même si j’aurais aimé recevoir pareil traitement ; je suis sûre que ça me plairait beaucoup. Bon, papa m’a interdit de jouir, au fait ; n’en parlons plus. Dommage, mon ventre est trempé...
Gratitude ou pas, Marine eut pitié de mes genoux et me fit nettoyer les étagères et laver les carreaux d’un cagibi surchauffé. Je ruisselais littéralement, tellement j’avais chaud dans cet espace confiné. Quand Marine passa contrôler mon travail, je lui demandai :
— Madame, puis-je avoir de l’eau, et enlever ce vêtement ? Je n’en peux plus tellement il gratte.
— Tu veux travailler nue ? ...
... Soit. Je t’autorise à aller chercher à boire aux toilettes du personnel.
— Merci, Madame.
— Mais travaille un peu plus, sinon je serais obligée de sévir.
— Je vous le promets, Madame. Merci.
Je ne rencontrai personne lors de mon passage aux toilettes et me remis au travail après avoir enlevé la robe de jute. Aux endroits où le tissu frottait, ma peau était irritée et à vif. J’étais soulagée de pouvoir quitter ce diabolique vêtement et travaillai dès lors avec davantage d’entrain. Je sursautai quand la porte de la pièce s’ouvrit brutalement et alla claquer contre la paroi. Entrèrent les vigiles, Babacar et Hamid, ainsi qu’un couple dissemblable : un jeune homme – dans la vingtaine, me sembla-t-il – accompagné d’une femme un peu plus âgée.
Je crus reconnaître une ressemblance entre le jeune homme et monsieur Rodriguez : la même chevelure noire, frisée et dense, la pilosité abondante, les yeux sombres, dominateurs, la bouche jouisseuse, le menton carré et puissant ; son fils, assurément. Il paraissait encore plus grand que mon père, mais moins massif ; cela étant, sa musculature n’avait rien à envier à celle de papa. Son tee-shirt noir moulait des épaules de nageur ; en dépassaient des biceps qui forçaient le respect.
Je frissonnai malgré la chaleur ambiante, pleinement consciente de ma nudité. Je me maudis en sentant mes tétons gonfler sous les regards concupiscents des trois mâles, et spécialement sous celui de ce bel inconnu. Car il était beau, assurément. ...