Alicia et son papa (15)
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... reniflai-je.
— Tu es même une petite maligne, j’ai l’impression. Je vais prendre la courroie pour t’expliquer que tu n’auras rien à gagner à jouer au plus fin avec moi.
Mortifiée, je n’essayai même pas de le dissuader. À quoi bon, en effet ? Supplier des types comme lui, ça ne me rapporterait qu’un surcroît de punitions et de brimades. Je ne bougeai donc pas, attendant la suite. La violence du premier coup me prit par surprise. La sangle de cuir claqua sèchement sur mes fesses déjà bien éprouvées. Je poussai un hurlement de douleur et tombai sur le côté, renversant mon seau d’eau.
— Reviens en position ! aboya Samuel. Je n’en ai pas fini.
— S’il vous plaît, pas si fort, ça fait trop mal, pleurnichai-je en obéissant.
— Parce que c’est toi qui décides, maintenant ? En position, et ne bouge plus !
Sanglotante, je réussis à rester à peu près immobile alors qu’il me rossait à coups violents, les assénant à toute vitesse. La bouche ouverte, je n’arrivai même pas à crier tellement tous mes muscles étaient tétanisés par la brutalité de la correction. Jamais je n’avais été battue avec une telle sauvagerie. Quand il arrêta, je tombai à nouveau sur le côté en position fœtale dans la flaque d’eau sale.
— Comme ça, ton cul te rappellera qui commande ici. Je te laisse une minute pour te ressaisir et recommencer à bosser. Passé ce délai, je te colle une nouvelle dérouillée, mais deux fois plus longue.
Heureusement, il ne me battit plus de la matinée ; il s’installa ...
... sur une chaise et fuma cigarette sur cigarette (alors que c’était interdit) et joua sur son smartphone. La pause fut brève pour moi ; je mangeai deux sandwichs périmés et bus un bon litre d’eau tellement j’avais soif. Samuel n’est pas revenu l’après-midi ; il a bougonné sur des courses de chevaux qu’il voulait suivre. Alors Marine est revenue en rouspétant, mais quand elle a vu l’état de mes fesses contusionnées et violacées, présentant même de petites coupures, elle a manifesté une certaine inquiétude.
— Ouh là là ! Ce qu’il t’a marquée… J’espère que monsieur Rodriguez va pas m’engueuler, moi. C’est pas ma faute, c’est Hamid qui a fait venir ce type. Tu lui diras, hein ?
— Je le lui dirai, bien sûr, mais il m’avait confiée à vous, je crois, rappelai-je perfidement.
— Petite peste ! Mais tu as raison. Je vais chercher une pommade apaisante à la pharmacie.
Marine n’a pas lésiné et a tartiné d’abondance mes pauvres fesses. L’effet s’est fait rapidement sentir, Dieu merci ; même si la douleur ne s’est pas totalement envolée, je me sentis mieux.
— Merci pour vos soins, Madame.
— Tu vas me remercier d’une autre manière, déclara Marine qui fit sauter ses chaussures et baissa son pantalon et sa culotte. Ça fait bien longtemps qu’une fille n’a pas goûté mon minou.
Son minou était un angora à poils noirs à peine frisés, et suintait de liquides corporels, preuve de l’excitation de ma chef. Entre sueur, urine et cyprine, iodée et capiteuse. Pas désagréable en fin de ...