1. Médecin remplaçant partie 3 : Mme Corbois


    Datte: 13/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Surcouf, Source: Hds

    ... me regardait il y a quelques secondes n’est pas si effarouchée que cela. Elle fait glisser son tanga à ses pieds et vient s’installer, presque nue, sur ma table, glissant ses pieds dans les étriers, en position gynécologique.
    
    Pendant ce temps, je prépare sur un chariot à roulette le matériel nécessaire pour réaliser l’acte médical, essayant au maximum de me concentrer sur ma tâche, évitant à tout prix de penser à cette femme qui m’excite énormément, assise dans une position plus que suggestive, en tenue d’Ève dans mon cabinet médical.
    
    Je me place en face d’elle, la tête entre ses jambes écartées, ignorant son mont de Vénus taillé en un triangle parfait et j’introduis le spéculum à l’entrée de son vagin. Elle tressaille et se mord la lèvre au contact du métal glacé avec sa peau, la peau de ses avant-bras se couvrant de chair de poule sous l’érection de ses poils, et je devine malgré moi son clitoris qui gonfle instantanément. J’ouvre le spéculum et le bloque dans cette position afin de pouvoir explorer son antre. Avec ma lampe sur la tête, j’ai l’air d’un spéléologue pervers en route pour explorer une grotte humide, et la vérité n’est pas très loin d’y ressembler. Je vois au fond de son vagin le col de son utérus et les deux petit fils du stérilet qui dépassent. Je me saisis d’une pince gynécologique et la préviens que je vais retirer le dispositif intra-utérin.
    
    —Non docteur, pas la pince, me dit-elle.
    
    —Comment cela ? Dis-je, interloqué.
    
    —Le docteur Paule ...
    ... n’utilisait pas la pince, ça cela me fait peur. La dernière fois qu’elle l’a enlevé, elle l’a fait à la main. Si vous pourriez faire pareil, docteur.
    
    Je me remémore les mains du docteur Paule, qui doivent mesurer moins de la moitié des miennes, et je me demande bien comment je vais y arriver sans lui faire mal. Mais, bon j’enfile des gants en latex et me replace à l’entrée de son vagin.
    
    —Excusez-moi docteur, mais vos gants ne sont pas en latex, si ?
    
    —Si, pourquoi ?
    
    —Parce que je suis allergique au latex. Mais allez-y à mains nues docteur, cela ne me dérange pas.
    
    Obéissant, je retire le gant et plonge mon index et mon majeur à l’intérieur. Elle gémit.
    
    La chatte de ma patiente est trempée, et mes doigts fouillent à l’intérieur, tentant d’attraper les fils du stérilet. Je sens le col de son utérus à la pointe de mon majeur, mais je n’ai pas assez de liberté pour attraper les fils entre mes doigt.
    
    —Je suis désolé, Madame Corbois, mais je vais devoir rajouter un doigt, je n’ai pas assez de profondeur.
    
    —Mmmm, répond-elle dans un soupir, mettez-y toute la main s’il le faut.
    
    Je plonge ma main entière dans son antre. Même après un enfant, je ne pensais pas qu’elle pourrait se dilater autant en si peu de temps, mais d’un autre côté, elle est si humide que ma main entre toute seule. Ma grande main emplit la totalité de son orifice, et je peux saisir les fils du stérilet. Je replie délicatement mes doigt pour faire venir l’instrument, qui glisse instantanément de ...
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