Médecin remplaçant partie 3 : Mme Corbois
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Surcouf, Source: Hds
... avec elle. Je mets mes affaires de sport dans mon sac et quitte la maison, direction le bureau.
J’arrive à 9h05, Alexia est déjà assise à son bureau. Elle porte un pull à col roulé sous sa tunique blanche. Avec la douceur qu’il fait encore à cette époque de l’année, elle doit crever de chaud, mais j’imagine qu’elle m’en veut encore pour hier. Prétendant avoir oublié l’épisode, je lui souris et lui demande comment elle va.
—Très bien, me répond-elle froidement. Vous êtes en retard. Deux patientes attendent déjà.
—Ah, on se vouvoie maintenant ? dis-je amusé. Dans ce cas, je serais ravi que vous fassiez entrer ma première patiente de la journée, ma très chère et charmante secrétaire.
Je vois un sourire se dessiner au coin de la bouche d’Alexia, qu’elle efface rapidement, reprenant son air sérieux, mais je comprends que ma phrase a eu son petit effet et que tout n’est pas perdu avec elle. Je mets ma blouse et m’installe à son bureau.
Je mets une capsule de Risretto dans ma machine à café, et l’odeur du café emplit la pièce, faisant frétiller mes narines. La première patiente entre.
Aussitôt, son air me dit quelque chose. Grande, les cheveux auburn, j’ai vraiment l’impression de l’avoir déjà vue quelque part. Son nom fait tilt dans ma mémoire : Mme Corbois. Ah oui, c’est la dame qui est venue hier avec son fils pour la crise d’asthme. Qu’est-ce qu’elle peut bien me vouloir aujourd’hui ?
—Bonjour, madame Corbois, Asseyez-vous, je vous en prie, comment va votre ...
... fils aujourd’hui ?
—Très bien, merci docteur, répond-elle en s’asseyant en face de moi. Je ne viens pas pour lui aujourd’hui… mais pour moi.
—D’accord, dites-moi tout. Ce faisant, je pianote sur l’ordinateur du Docteur Paule à la recherche du dossier médical de cette femme. 45 ans, un enfant, femme au foyer, son père est décédé à 55 ans d’un infarctus et elle a été opérée d’un mélanome à 37 ans.
—Je voudrais que vous me retiriez mon stérilet, docteur.
Étonné, je me demande pourquoi à 45 ans, cette femme veut endurer les risques d’une grossesse, et je lui explique les risques d’un tel acte, tant pour elle que pour le fœtus. Elle me dit bien comprendre cela mais insiste pour que je le fasse quand même.
—Dans ce cas, allez-vous installer sur la table, je prépare le matériel et j’arrive de suite.
Elle se lève, toujours dans son grand manteau de fourrure blanche, sûrement du vison ou de l’hermine, ses Louboutins claquant sur le sol à chaque pas. Elle se retourne vers moi et me demande :
—Je me déshabille, docteur ? En inclinant la tête vers moi et en me regardant avec un air de petite fille effarouchée.
—Oui, bien sûr, dis-je.
Elle fait tomber sa fourrure à ses pieds me dévoilant son corps quasiment nu dessous. Elle ne porte qu’un soutien-gorge en dentelle transparente qui laisse transparaître le cercle bruni de ses aréoles, et un tanga assorti qui galbe parfaitement ses fesses encore bien fermes et rebondies pour son âge. Décidément, la petite fille qui ...