Lendemain(s) de fête
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
fh,
couple,
extraoffre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fist,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
bougie,
amourdura,
entrecoup,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... missionnaire, puis en levrette, elle poursuit :
— Je vois que tu n’as pas voulu la laisser s’investir seule.
Voyant que son mari n’est pas à l’aise, elle le rassure à nouveau :
— Allez ! Je t’ai déjà dit que je ne t’en tenais pas rigueur. Nous avons tous deux eu notre moment de faiblesse.
— Tu n’en as pas fait un reportage.
Elle sent que si elle laisse Bernard se laisser aller à l’auto-flagellation, ils ne sont pas près de s’en sortir. Elle ajoute, pour le rassurer encore plus, même si elle doit s’avouer que ces images où elle voit son mari faire l’amour à une autre ne lui procurent pas une joie sans mélange :
— C’est vrai, mais la scène que tu avais surprise te donne des circonstances atténuantes. J’imagine parfaitement le spectacle qu’elle devait offrir. J’aurais dû mettre le holà plus vite. Et puis, voyons le bon côté des choses. Un : ça m’a permis de t’avouer ce qui me pesait sur le cœur depuis sept ans. Deux : nous sommes à égalité. On aurait tous deux préféré qu’il en soit autrement. Mais…(Elle lève les mains l’air de dire faut faire avec…) Et trois : cette mésaventure nous permet de redynamiser certaines choses, ne crois-tu pas ?
D’entendre sa femme parler ainsi, Bernard se détend, la serre contre lui, l’embrasse et glisse la main entre ses cuisses qu’elle ouvre sans renâcler, lui permettant ainsi de constater que c’est son minou qui pleure, pas ses yeux. Elle suggère alors qu’il se déshabille aussi, que c’est injuste qu’il ne soit pas à égalité là ...
... aussi :
— Je vois que la devise de la République t’inspire. Nous prenons d’abord quelques libertés, maintenant nous nous occupons de l’égalité et la fraternisation est en vue.
Tout en discourant, il s’exécute. Elle est ravie de le voir retrouver un peu d’humour. Elle reporte son regard vers l’écran, Isabelle s’y sert de la bougie, avec la même hardiesse qu’elle hier. L’action change, Bernard intervient de nouveau, il lèche la chatte d’Isabelle, avant de la faire mettre à quatre pattes. Après une longue préparation, elle le voit s’enfoncer dans le petit trou de la donzelle. Elle ne peut s’empêcher de s’exclamer :
— Mais tu l’encules !
— Tu as remarqué.
Et il explique l’histoire du gage non retiré et ses suites.
— Tu veux dire que c’était la première fois qu’elle se faisait…
— Enculer. Oui.
— Ça n’a pas l’air d’être trop difficile. J’avais entendu dire que ce pouvait être délicat, surtout la première fois.
Fascinée, elle regarde la douce Isabelle se faire sodomiser, d’abord à quatre pattes, puis venant elle-même s’empaler sur Bernard allongé et elle réussit à prendre du plaisir, en s’aidant de la main, il est vrai. Songeuse, elle dit :
— Il va falloir y remédier.
— À quoi ?
— À ça. Nous n’avons jamais essayé, tous les deux.
— Je n’ai jamais pensé à te le proposer.
— Pourquoi ?
— Je ne sais pas. Je pensais que ça ne t’aurait pas branché de te faire sodomiser. Et toi, pourquoi ne l’as-tu pas proposé ?
— Ça ne m’était pas venu à l’idée non plus avant ...