1. Lendemain(s) de fête


    Datte: 13/02/2021, Catégories: fh, couple, extraoffre, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, fist, pénétratio, fsodo, jouet, bougie, amourdura, entrecoup, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    Il fait grand jour au réveil de Bernard, mais il est le premier levé. Bernadette dort toujours dans le séjour et l’invitée n’a pas émergé de la chambre d’ami. Il va à la cuisine préparer du thé. Il revient dans le séjour avec un plateau, Ophélie pointe le bout de son joli minois, toujours aussi peu vêtue. À sa décharge, il faut bien reconnaître que ses vêtements étaient restés là. Si elle les avait eus à portée de main, les aurait-elle mis ? Rien n’est moins sûr. Elle fait une bise à Bernard et lui murmure en regardant Bernadette :
    
    — Quelle soirée ! Je comprends qu’elle soit encore sur le flanc, elle a beaucoup donné de sa personne hier soir. Vous ne devez pas vous ennuyer tous les deux.
    
    En servant le thé, il lui répond :
    
    — Comme je te l’ai dit hier soir, c’est une première fois pour beaucoup de choses. Avec des enfants à la maison, ce n’est pas le genre de truc qui se pratique quotidiennement.
    
    C’est à ce moment que Bernadette émerge. Elle regarde autour d’elle, ensommeillée, et son regard tombe sur cette fille nue assise devant son mari qui est de dos. Ses yeux s’agrandissent de surprise, elle serre contre sa poitrine la couette. Son mouvement attire l’attention. La fille lui sourit et lance :
    
    — Salut. Bien dormi ?
    
    Bernard se retourne et vient l’embrasser :
    
    — Bonjour, ma chérie. Remise de ta soirée ?
    
    Lentement celle-ci lui revient. À ce souvenir elle rougit, osant à peine imaginer le spectacle qu’elle a offert. Qu’est-ce que cette fille doit penser ...
    ... d’elle et Bernard ? Elle voudrait disparaître dans un trou de souris, mais elle se calme et ordonne ses idées. Elle ne va pas faire un complexe devant cette fille qui elle n’en a pas à se promener à poil chez des inconnus de la veille. Il faut assumer ses actes, personne ne l’a obligée. Forte de cette réflexion, elle rejette la couette et s’étire en claironnant :
    
    — J’ai dormi comme un loir. Je suis en pleine forme.
    
    Elle se lève, se colle à son mari et l’embrasse à pleine bouche, s’approche d’Ophélie et lui effleure les lèvres. Elle se déclare affamée et se jette sur le petit déjeuner. Une fois rassasiée, elle jette un coup d’œil appuyé sur sa toison empoissée et les traînées sur ses cuisses, et de conclure qu’un brin de toilette ne serait pas un luxe. La capacité d’étonnement de Bernard quant aux agissements de sa femme est largement émoussée, aussi la regarde-t-il s’éloigner le postérieur chaloupant, avec plus d’amusement que de surprise.
    
    Tandis que Bernard remet un peu d’ordre dans la pièce, Ophélie débarrasse la table du petit déjeuner en faisant remarquer que pour le service elle a de la pratique. Quand elle s’éloigne, Bernard constate qu’elle aussi a un balancement du popotin des plus plaisants. Quand ces dames reviennent, Bernadette est décidée à ne pas laisser l’initiative à cette petite délurée. Mais avant qu’elle n’agisse, cette dernière, le regard fixé sur la pendule, s’exclame :
    
    — Il est déjà cette heure-là ! J’ai promis à Maman de déjeuner avec elle à ...
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