1. La Bourgeoise et le Plombier


    Datte: 12/02/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byelko, Source: Literotica

    ... donnant l'occasion, (involontaire ou pas ?) de mater sous sa jupe. J'aperçus la peau blanche au dessus des bas et de nouveau j'eu une érection. Mon sexe est tendue à me faire mal.Elle se relève et se pencha pour attraper je ne sais quoi m'enjambant, ce qui me donna de nouveau l'occasion de mater sous sa jupe.N'en pouvant plus, Je me relevais soudain la dévisageant. Elle me regarda une lueur interrogative dans les yeux.
    
    — Qui a-t-il ?
    
    Sans rien dire, je lui plaquais mes mains sur ses fesses et la collait à moi.
    
    — Mais enfin ! Jeune homme ! protesta-t-elle...
    
    Je lui malaxais son cul à travers sa jupe que je relevais dévoilant le porte-jarretelles. Je la retournais la courbant sur le lavabo. Elle poussa un petit cri mais ne hurla pas pour prévenir son mari qui est en bas. Ce qui m'encouragea à continuer. J'écartais la fragile étoffe du string et lui léchais la vulve avec ma langue.Elle poussa un gémissement. Soufflant comme un boeuf, je sortis mon sexe épais et m'enfonçais directement dans son ventre.Elle sursauta et balbutia :
    
    — Non... Non... Mon mari va...
    
    Elle poussa un petit cri. Les mains crispées sur ses hanches, je la pilonne avec vigueur...Mon ventre va claquer contre ses fesses. Les yeux hagard, elle me regarde à travers la glace. Je fais des allers-retours dans son con, la besognant comme un fou.Elle halète la bouche ouverte. Ses mains sont crispées sur le lavabo. Elle se mord les lèvres. Je sortais mon sexe luisant et obligeant cette si distinguée ...
    ... bourgeoise à s'agenouiller à mes pieds, je lui présentais ma bite devant sa bouche.Elle se recula, secouant la tête.
    
    — Non...
    
    Je lui agrippais les cheveux et m'enfonçait dans sa bouche.Elle eut un hoquet et commença à me sucer la queue. Sa tête faisant des va et vient. Je regarde, triomphant, ma bite coulisser entre ses lèvres. J'appuie plus fermement sur sa tête pour bien m'enfoncer dans cette bouche si accueillante et elle poussa un gémissement. Elle recula cherchant à reprendre sa respiration et je lui agrippais de nouveau les cheveux la forçant à me reprendre dans sa bouche.
    
    — Chérie, mais qu'est ce que tu fabriques.On va finir par être en retard.
    
    Le mari s'impatiente.Elle voulut se relever, affolée, une lueur de panique dans le regard.
    
    Pervers, je lui pris le bras et l'entrainais malgré ses protestations chuchotées dans le couloir. Je la courbais sur la rambarde de l'escalier qui menait au salon.on entend la télévision, les infos ont commencé et d'où je suis, j'aperçois les pieds du mari cocu sans doute assis dans le canapé. Elle tente de se dégager et je lui donne un petite claque sur les fesses. Je m'enfonce de toute ma longueur en elle. Les mains posées sur la rambarde, elle répond à mes coups de reins en ondulant. Elle pousse des gémissements. Je suis complètement excité par cette situation. De savoir que le mari peut nous surprendre à tout moments.Je la bourre frénétiquement, la défonçant.
    
    — Petite salope, tu n'attendais que ca...lui lançais-je ...