La Bretagne, en septembre, est-elle triste ?
Datte: 11/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
amourcach,
Auteur: Poterne, Source: Revebebe
... mal, mais pas aussi bandante que toi, lui dis-je en lui caressant les fesses et en la prenant dans mes bras.
***
Les jours suivants, le beau temps se maintient, sur le chemin du chantier, j’aperçois Marie de temps en temps sur la plage après son bain ou sur la terrasse de sa maison. Nous nous échangeons quelques signes de la main.
Hier j’ai entendu de la musique venant de la maison, intrigué et repensant à l’affirmation de Capucine, je me suis approché en me cachant un peu dans les fougères, c’était Marie en train de jouer du violoncelle sur la terrasse dans le jardin de derrière. Je me suis accroupi et, comme un voyeur, je suis resté là quelques minutes à l’observer ! C’était digne d’un tableau, un léger vent faisait voler ses cheveux libres et la mélodie de musique traditionnelle ondulait jusqu’à mes oreilles.
Ce matin, je suis en train de poncer un bateau au chantier quand je sens quelqu’un tirer ma manche. Je me retourne, retire mes lunettes protectrices et quelle n’est pas ma surprise de voir Marie devant moi !
— Bonjour !
— Il me semblait bien que c’était vous ! Vous travaillez ici ?
— Je donne un coup de main en attendant de rentrer à Paris. Je peux vous aider ?
— Je cherche Yvon, le patron du chantier, notre voilier a besoin de travaux.
— Il n’est pas là aujourd’hui, je lui dirai que vous êtes passée !
— Capucine me parle toujours de vous, car selon elle, vous êtes celui qui a fait fuir le méchant chat !
Nous discutons un peu de son bateau, du ...
... temps, de Capucine. Avant de partir, elle se retourne et me demande :
— Entrez à la maison, demain matin, venez un peu plus tôt, je vous préparerai le petit-déjeuner avant que vous n’alliez travailler. Ça fera plaisir aussi à ma fille de vous voir, en ce moment c’est un peu le désert des Tartares, ici.
Je reste interdit ! M’attendant à tout sauf à ça, mais bien sûr je m’empresse d’accepter !
***
Ce matin je hâte le pas sur le sentier, je suis parti quarante-cinq minutes plus tôt. Hier, Laure n’est pas passée, tant mieux, comme ça je n’ai pas menti, car je lui aurais certainement caché cette invitation. Je ne sais pas pourquoi, car je n’attends rien ! Enfin ce n’est pas vraiment ça ! Je n’arrête plus de penser à Marie, se pourrait-il que je lui plaise, une femme comme elle ? Elle a dix ou quinze ans de plus que moi ! Mais non ce n’est pas possible, elles ont seulement besoin d’un peu de compagnie !
Je l’aperçois sur le devant de sa véranda, elle me fait signe d’entrer ! J’entrevois Capucine derrière sa mère.
— Bonjour monsieur « fait-peur-au-chat » !
— C’est comme ça qu’elle vous appelle !
Marie porte un jean délavé qui lui va à la perfection et un tee-shirt moulant mettant en évidence son corps athlétique, j’ai du mal à ne pas regarder ses fesses ! La table est dressée dans la véranda, les croissants sont appétissants tandis qu’une odeur de café flotte dans l’air. La vue est époustouflante, les îles au large se découpent dans la lumière du matin. Octobre, ...