La Bretagne, en septembre, est-elle triste ?
Datte: 11/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
amourcach,
Auteur: Poterne, Source: Revebebe
... ?
J’allume en grand la lumière et la regarde de bas en haut. Elle porte un short en jean et un débardeur, j’admire ses longues jambes, sa taille fine et son petit air boudeur. Je m’approche de son visage couvert de taches de rousseur pour embrasser ses lèvres. Mais elle me repousse doucement !
— Pas si vite !
— Et toi, t’as un mec dans ta vie ?
— Pour le moment, non, mais c’est une longue histoire, je travaille encore un peu dans la crêperie du centre avant de rentrer à Paris, un peu comme toi !
Deux heures plus tard, je suis à moitié endormi sur le lit, mes yeux se ferment, Laure à mes côtés s’est blottie contre moi. Nos bavardages se sont transformés en monologue comme souvent avec elle. Tout d’un coup, elle me secoue.
— Ha, mais non, tu ne vas pas dormir !
Je me retourne vers elle, j’écarte ses cheveux frisés et lourds, pose mes lèvres sur les siennes tandis que ma main se glisse sous son débardeur pour lui caresser ses seins libres de tout soutien-gorge. Elle ouvre doucement sa bouche et nous échangeons un premier baiser. Je sens sa langue effleurer la mienne tandis que sa paume chaude court sous mon tee-shirt. Après quelques caresses de plus en plus intimes, elle se met debout sur le lit et entreprend de se déshabiller : un tee-shirt, un short et une petite culotte volent dans ma chambre. J’en profite pour enlever moi aussi mes vêtements.
— Alors, je te plais toujours ? me dit-elle en enjambant mon torse, m’offrant une vue parfaite de ses formes ...
... callipyges et de son intimité libre de tout poil pubien.
— Tu es de plus en plus canon !
Elle regarde mon érection et sourit, elle se retourne, s’agenouille sur ma poitrine et se penche pour avaler mon sexe. L’attrapant par les hanches j’attire doucement sa croupe vers moi, ma bouche et mes lèvres se perdent dans son bas-ventre humide. Nos caresses buccales nous portent à la limite de la jouissance et c’est avec brusquerie que je me relève, la retourne et m’allonge sur elle. J’embrasse la pointe de ses seins qui durcissent et s’allongent à mon contact, puis je me guide en elle et la pénètre doucement. Je sens ses longues jambes s’enrouler autour de mon corps et me serrer comme un étau. Quelques minutes plus tard, elle se raidit se cabre sous moi et nous jouissons longuement. Elle se lève pour aller aux toilettes, je contemple son corps élancé, mais aux formes féminines. À son retour, elle se couche de tout son long contre moi et nous glissons dans les bras de Morphée.
***
Je me réveille en entendant Laure qui se rhabille, je regarde ma montre, sept heures ! Elle capte mon regard et me sourit.
— Je dois aller m’occuper de ma grand-mère !
— Laure !
— Quoi ?
— Ce soir tu feras encore ta Joey ?
Elle se penche vers moi m’embrasse doucement et me murmure :
— Comment pourrais-je manquer cela !
***
Ce matin c’est avec un cœur plus léger que j’emprunte le sentier pour aller au chantier. Camille est un peu plus loin ! Le soleil brille, des hautes pressions se ...