1. Le goût du sang (1)


    Datte: 09/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... attaquer la phase suivante. Je passai un doigt dans le sillon de tes fesses, et tu sentis une douce chaleur t’envahir alors que je lubrifiai généreusement ton anus avec un gel, le massant assez pour le sentir se relâcher, puis se contracter violemment en un mécanisme de défense involontaire, car ton esprit t’échappait à nouveau : sodomie brutale ? Godemiché surdimensionné ? Improvisation à base de légumes ?
    
    Tu ne me vis pas approcher le chapelet de boules anales, tu pris juste conscience de l’entrée de la première sphère. Froide, lisse, métallique, petite. Elle entra facilement, et ton anus l’aspira, l’emprisonna, refermant derrière elle son barrage de muscles. Je poussai et la peau souple et plissée se tendit pour épouser la forme de la deuxième boule, un peu plus grosse. Lentement, j’insistai, et comme pour la première, la mâchoire s’entrouvrit momentanément. Tu étais dorénavant cent pour cent concentrée, focalisée, sur ton cul. Il s’ouvrit, inexorablement, régulièrement, pour laisser entrer une bonne partie du chapelet. Envoyant chaque fois une décharge exquise dans ton dos.
    
    Je fis une pause avant les deux dernières sphères, les plus grosses. Comparables à la circonférence de mon sexe, elles promettaient une lutte plus acharnée. Le chapelet reprit sa glisse en avant. La vue que j’avais était tout simplement délicieuse : je vis ton anus résister, puis se dilater généreusement et engloutir le métal, se contracter, geôlier forcé. La dernière boule t’arracha un cri de ...
    ... plaisir. Tu te sentais maintenant remplie, relâchée, prête. Mais prête pour quoi ?
    
    Je m’emparai du fouet et le présentai à tes yeux. Ils s’écarquillèrent de terreur. Le sang battait follement dans tes tempes. Inondée, tu dégoulinais entre les cuisses. Ton anus palpitait sans interruption autour du chapelet, l’enveloppait, le suçait. Tes tétons pointaient furieusement. Ta peau sensibilisée par le plumeau ne semblait plus pouvoir accepter le moindre contact. Et je te montrais le fouet ? Tu entrouvris la bouche, sur le point de demander grâce. J’y glissai deux doigts et par réflexe tu les avalas goulûment, les limas de tout ton désir. Tes dents s’y plantèrent de surprise quand le bout des lanières se posa doucement sur ta nuque. Je retirai lentement mes doigts, tandis que le cuir glissait dans ton dos, et qu’un râle t’échappait. Ta peau s’enflamma à ce contact. Le fouet stoppa sa course folle au creux de tes reins, ne laissant guère de doute sur sa destination finale.
    
    Après un court frottement, le contact avec ta peau disparut. L’évidence te frappa : le fouet venait de prendre son élan. Tout ton être se prépara à la morsure du cuir sur tes fesses, à cette douleur que tu supposais indicible, insoutenable, intolérable. Tel un skieur visualisant sa descente, et préparant son corps en un ultime entrainement, ton cerveau simula le coup de fouet, anticipant les signaux redoutés qu’il allait recevoir. D’un mouvement sec du poignet, j’abaissai le manche, et le bout des lanières ...