1. Magaluf, des vacances inoubliables. (2)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory

    ... ce que je voyais était le mur en face de moi. Etait-il là depuis le début ? Etait-ce mes cris qui l’attirèrent ? C’était trop tard pour se poser des questions, car cet opportuniste me fourra précipitamment et sans ménagement. J’étais à nouveau possédée par un autre homme dont je n’avais même aucune idée ce à quoi il pouvait bien ressembler. Mise à part que je sentais clairement la masse de son ventre sur mes fesses...
    
    Je n’étais guère plus qu’une autoroute béante dont l’engin s’enfonça en moi encore plus facilement que le premier. Et comme son prédécesseur, cet homme au ventre bedonnant s’acharna rapidement à me donner de puissants coups de queue dont le claquement de chair résonna une fois encore. Il accéléra ses va-et-vient en me tenant fermement les hanches, me donna de grands coups de queue. Mon nouvel amant me bourrait sans grande civilité comme une pute bas de gamme.
    
    Puis, il m’attrapa les poignets et me tira les mains dans le dos. Mon corps en angle droit, il me posséda telle une esclave à sa merci. Ma poitrine, toujours habillée de mon haut de bikini, ne cessait de ballotter en cadence et je criais malgré tout mon plaisir, encore, complètement abrutie par l’alcool et enivrée par le plaisir charnel. Pendant notre coït, l’inconnu baragouina quelques mots d’espagnol dont le seul que je compris était « puta » qu’il répétât souvent. Oui, j’étais sa puta, et gratuite en plus ! A ce moment, je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à rire. Un bien étrange petit rire de ...
    ... plaisir.
    
    Il me besogna ainsi pendant un moment et comme pour celui d’avant, éjacula en moi sans vergogne. J’avais à présent les semences chaudes de deux hommes différents dans mon ventre...
    
    Enfin terminé ? Eh non. A ma grande surprise, j’aperçus un troisième homme se présenter portant un t-shirt blanc, mais sans pantalon, et au point où j’en étais, je ne vis aucun inconvénient à ce qu’il se joigne à la fête. Je me souviens bien de lui, car sa bite luisait sous la faible lumière du lampadaire. Je compris alors qu’il avait pris la précaution d’enfiler un préservatif, sans doute le fait de passer après deux hommes ayant juté en moi le répugnait un peu. Bien qu’à le voir gigoter sur place, il était tout aussi impatient...
    
    A ma grande surprise, cet homme fut plus doux que les deux autres, limite timide. C’était, me semble-t-il, un jeunot, un poil plus petit que moi. Avec douceur, il me fit m’allonger de dos à même le sable et, impatient, il écarta mes cuisses et passa un peu maladroitement au-dessus de moi. Il chercha une bonne position, un bon appui dans le sable ; et ainsi, tous deux étendus, ce gentleman enfonça sa bite et me prit en missionnaire.
    
    Il grognait, cherchait son souffle pendant notre union, alors que je gémissais de plaisir. Il agrippa l’un de mes seins, ses doigts se resserrèrent avec fermeté autour du galbe et profitaient de mon corps. J’eus encore un petit rire, l’un de ceux de salopes satisfaites, qui provoqua mon jeune amant à redoubler d’ardeur. Et ...
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