1. Magaluf, des vacances inoubliables. (2)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory

    La fiesta battait son plein dans une ambiance brûlante et entre deux cocktails, nous dansions sans nous soucier de rien. Mais à ma grande surprise, vint un moment où je m’aperçus, un peu conne, que la femme avec qui je dansais en face de moi n’était pas ma meilleure amie, mais une parfaite inconnue. Magie magie, Jonathan et David avaient disparu Dieu sait où et Vanessa m’avait quittée pour je ne sais quoi. Depuis combien de temps ? Aucune idée. Tout s’embrumait dans ma tête, mais je devais avouer ne plus pouvoir très bien discerner les gens dans l’état où j’étais. Mais peu m’importait, il y avait bien assez de monde pour se faire de nouveaux amis, même s’ils ne parlaient pas la même langue.
    
    Et d’ailleurs, mon nouvel ami à la bite appétissante profita de ce moment pour m’entraîner à l’écart. Je pensai qu’il m’emmenait au bar boire un coup et genre pour apprendre à nous connaître. Alors je le suivis. Mais j’avais une impression étrange, l’impression que ce n’était pas le même homme dont le goût de sperme restait encore tenace sur mes papilles gustatives, que le corps que je touchais n’était plus le même. Etait-ce vraiment lui ? Je ne savais plus...
    
    Et très vite, l’homme m’emmena dehors bras dessus, bras dessous à l’écart de la fête alors que j’étais dans l’incapacité de m’orienter. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, mais il faisait encore nuit, sans doute, largement après minuit, et seuls les lampadaires et les enseignes lumineuses nous éclairaient. Dehors, ...
    ... alors que la musique sourde de la boîte de nuit s’éloignait de plus en plus, beaucoup de fêtards éméchés continuaient la fête. Des Allemands, Anglais, Espagnols... certains titubaient à ne pas savoir où aller, des groupes chantaient joyeusement à tue-tête et d’autres se pelotaient sans gêne.
    
    Mais nous continuions à marcher ensemble vers Dieu sait où. En tendant l’oreille, je discernai entre la musique et les hurlements le bruit de la mer, celui des vagues, et après avoir passé un mur, je reconnus le sable fin, si agréable sous mes pieds. C’était bien la plage ! Elle qui était si bondée le jour, était déserte la nuit. Un calme qui fit un bien fou à mes oreilles...
    
    Nous arrivions dans un recoin discret de la plage, à peine éclairé. A côté d’un cabanon, plus calme, plus discret, avec un banc contre le mur et des piles de chaises entreposées là pour la nuit, un endroit pas très propre où les verres vides et les vidanges de bouteilles se multipliaient au fur et à mesure que la nuit se déroulait.
    
    Il m’invita à m’asseoir avec lui sur ce banc de plage et sans attendre, colla ses lèvres aux miennes. Nous étions partis dans une franche embrassade langoureuse où le son de nos baisers se mêlait au bruit des vagues. L’échange enivrant dura un moment pendant lequel une fois encore je me fis peloter les seins.
    
    Puis il se leva. Je voulus faire de même, mais ses mains m’obligèrent à rester assise. Il se posta debout devant moi pendant que je me demandais ce qu’il cherchait à faire. ...
«1234...»