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Police polissonne (44)
Datte: 08/02/2021, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... de l’équipe ennemie ? — Ce n’est sans doute qu’un problème de transmission, on va attendre un peu. — Mon Commandant donnez-moi la liste…S’il vous plaît, supplie le sergent. Le gradé lui tend la liste et le sergent la parcourt et découvre le nom du soldat « Conard ». — Mon Commandant, il faut décoller avec l’hélico ; elle est en danger ; elle a eu maille à partir avec le soldat « Conard » Je le connais, il va la massacrer. Je vous en prie mon Commandant. — Soit, je vous fais confiance ; alors allez-y. Le sergent se précipite vers l’appareil et ordonne le décollage. ***** Pendant ce temps Sonia est en mauvaise posture. Elle sait que les choses vont mal se passer, elle est inquiète, le stresse monte en elle ; mais elle entre dans une colère noire, la même que celle qui l’a poussé tout au long de cette formation. Elle ne peut pas et ne veut pas échouer si près du but… Alors que le premier coup de ceinturon lui cingle les fesses et les suivants tout le corps, elle s’efforce de ne pas crier, car les coups sont violents ; elle a mal partout. Mais grâce au stage que lui a fait subir le sergent, elle encaisse mais cette fois ce n’est pas par plaisir. Elle décide de ne pas crier pour ne pas faire plaisir à son agresseur et encore moins donner l’alerte au risque de faire capoter la mission. Elle s’en sortira seule. L’homme attaché essaie de crier pour donner l’alarme, mais son bâillon l’en empêche. À force d’insistance, elle réussit à libérer sa main droite, ...
... le soldat cesse de la frapper, ouvre son pantalon et sort sa bite bandée au maximum en s’approchant d’elle en ricanant. — J’espère que tu vas te débattre, car j’aime baiser avec une furie dans ton genre. Je vais te détacher les pieds et te prendre comme ça pendue au plafond ; n’essaies pas de me filer des coups de pied, sinon je t’étrangle et te baise après. Il s’approche d’elle, se baisse et libère son pied gauche en lui jetant régulièrement un regard mauvais ; elle s’active en bougeant le moins possible pour ne pas alerter l’homme sur ce qu’elle est en train de faire. Son but : libérer ses mains du nœud coulant, puis tourner la corde autour de ses poignets pour laisser croire qu’elle est toujours attachée. Elle se laisse libérer la seconde cheville sans bouger et prépare son plan d’attaque : il va falloir qu’elle soit rapide et efficace ; elle sait que si elle se loupe elle n’aura pas de seconde chance. L’homme se redresse en la tenant par les chevilles. — C’est bien, je vois que tu commences à comprendre ; maintenant tu vas te débattre pour m’exciter, j’aime quand les filles ne se laissent pas faire ; allez bouge ! — OK, tu l’auras voulu, espèce de gros con, car moi on ne me viole pas ; soit je suis d’accord, soit je ne le suis pas et pour le coup je ne le suis pas, lui dit-elle en gesticulant des jambes. Mais ses mouvements ne sont qu’une diversion. D’un mouvement rapide, elle se hisse à la force des bras, rétracte ses jambes pour libérer ses chevilles, ...