Broken Wings - Histoires de Sexe

Broken Wings

... des hommes et qui ne s’embarrassent pas de chichis.
— Ah bon ? Jamais je n’aurais cru ça de vous.
— Eh oui, j’aime bien le raffinement en dehors de la chambre, un peu moins en dedans. Ah, un détail tout de même, j’aime la fermeté, parfois même un peu de brutalité, mais pas les mots crus…
— Moi non, plus, cela tombe bien…

Sitôt le seuil franchi, de nouveau les choses vont très vite. Ma veste de tailleur vole bien vite, il s’en faut de peu que mon caraco de satin ne finisse en lambeaux, quant à ma jupe, je n’ai que le temps de baisser la fermeture éclair sans quoi je ne donnais pas cher de l’étoffe. En apercevant mes bas et mon porte-jarretelles, Michel a tout de même un moment de répit,

— Vous… Vous n’avez pas de culotte ?
— Ben non, rigolé-je, vous me l’avez déchiré tout à l’heure… Que voulez-vous que je mette, maintenant ?

S’il sourit, cela ne l’empêche pas de sortir aussitôt son membre et de m’embrocher d’un seul tenant. Cela tombe bien, je suis littéralement inondée, cela me fait toujours le même effet lorsque je me balade cul nu. Là, alors que je suis tout juste allongée sur le lit, il commence à me pistonner avec une telle hargne que je ne tarde pas à couiner, visiblement pour son plus grand plaisir. Sans même s’inquiéter de ce que je n’ai pas encore totalement repris mon souffle, il me retourne prestement, m’enfonce la tête dans les oreillers et, me saisissant par les hanches, s’enfonce de nouveau en moi dans une position de la levrette assez bestiale. De ...

... nouveau, pilonnage en règle, et les mêmes causes produisant les mêmes effets, je couine de nouveau sans même avoir eu le temps de me rendre compte de ce qui se passe.

Je me retourne alors vers lui, il est absolument trempé de sueur, mais il faut dire qu’à part sa braguette ouverte, il n’a strictement retiré aucun vêtement…

Alors, profitant de l’accalmie, j’en profite pour le dévêtir. La cravate de soie, la chemise de marque et le reste viennent rejoindre sur la chaise le pantalon et le reste. Par contre, pas de trace d’un quelconque caleçon, fut-il en soie.

— Tiens, vous non plus ne portez pas de sous-vêtements ?
— Jamais lorsque je me rends à l’invitation d’une jolie femme. Ce ne sont que des barrières qui se servent qu’à freiner le désir.
— Maintenant que nous sommes nus, nous pourrions peut-être le goûter, ce nectar que vous me promettez ?
— Sans aucun doute, répond-t-il tandis que le bouchon saute.

Alors que nous trinquons l’instant présent, il devient soudain un peu plus sombre.

— Dites-moi, ma belle, vous ne parlez jamais de vous. Vous avez un petit ami ? Un mari ? Quelque chose d’approchant ?

C’est à mon tour de sourire.

— Rien de tout cela. Vous savez, j’ai déjà plusieurs fois vécu en couple, et à deux reprises, j’ai bien cru avoir déniché le bon numéro. Mais il se trouve que les princes charmants ont souvent la fâcheuse tendance de se transformer en crapauds… Alors, désormais, je vis ma vie au jour le jour. Je pense qu’avec le parcours qui est ...