1. Broken Wings


    Datte: 08/02/2021, Catégories: fh, hplusag, profélève, école, amour, fsoumise, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, nostalgie, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... va falloir que vous m’aidiez quelque peu. Pour moi, c’est de l’inédit…
    — J’y compte bien…
    
    Inédit, inédit, moi je veux bien… Déjà, la façon qu’il a de poser la corde de soie autour de mon cou en prenant soin qu’elle ne me scie pas les épaules me laisse à penser qu’il n’en est pas à son coup d’essai. Ensuite, il fait lentement descendre le double brin entre mes seins, s’attarde à ce que les nœuds soient le plus plat possible, jusqu’à ce qu’il arrive au sillon de mon sexe.
    
    — Là, j’avoue que j’ai un dilemme. Que dois-je faire ?
    — C’est facile. Soit vous le faites passer entre mes lèvres, le plaisir et la douleur seront pour moi mais il vous sera impossible de me prendre par la suite si vous le désirez. Ou alors, vous le faites passer dans les plis de l’aine, c’est moins excitant pour tous les deux mais cela vous laissera accès à mon sexe. N’oubliez pas que tout à l’heure, je serais totalement à votre merci, vous pourrez faire ce que vous voulez de moi.
    — Cela vous ennuie si je choisis la seconde solution ?
    — Absolument pas. Simplement, il vous faudra serrer un peu moins fort…
    
    La suite est plus classique. La corde remonte entre mes fesses, rejoint la fameuse bouche derrière ma nuque, et c’est là que les nœuds habilement disposés prennent toute leur importance. Ils permettent d’enserrer mes seins, puis mon torse, et je demande régulièrement à Michel de resserrer ces liens un peu plus fort, aussi ont-ils tout fait de m’entrer dans la chair en me laissant de longues ...
    ... meurtrissures rouges ou bleues.
    
    Puis c’est à ma taille d’être enserrée, là encore je demande à mon tortionnaire de bien vouloir tirer un peu plus fort sur les cordes, à tel point qu’il me devient de plus en plus difficile de respirer. Ensuite, c’est à mes mains d’être liées dans le dos, là encore assez serrées pour m’empêcher de me détacher, et c’est à mon insistance directe qu’il accepte de faire de même avec mes coudes, liées eux aussi dans le dos. Ficelée comme cela, le souffle coupé, la poitrine enserrée dans les liens et surtout offerte de par la position de mes bras, je m’adresse à Michel.
    
    — À partir de maintenant, vous pouvez faire exactement ce que vous voulez de moi, c’est ce que je désirais depuis le début. Logiquement, dans le colis qui vous a été livré, il y a un bâillon-boule qui vous permettra de me faire ce que vous voudrez sans que je ne puisse crier. Il y a également un chat à neuf queues, sachez que je suis particulièrement sensible de la poitrine. Désormais, je suis à votre merci, à vous de faire de moi ce que bon vous semble.
    
    Le martinet dans une main, il a soudain envers moi un sourire que pourrais aisément qualifier de malsain. Soudain, j’ai peur, mais je sais très bien que, parallèlement, mon sexe ruisselle. Aussi imbécile que soit la situation, c’est précisément ce que je suis venue chercher.
    
    — Vous ne pouvez rien faire, vraiment ? Et si je vous mets ce bâillon, vous ne pourrez même pas crier ?
    — Absolument.
    — Il n’y a pas à dire, vous êtes ...
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