Une belle-mère très tendre
Datte: 03/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
campagne,
bellemere,
Auteur: Pradel, Source: Revebebe
... !
— Moi j’ai beaucoup aimé la partager avec vous.
— Moi aussi.
— Je peux vous embrasser ?
Pour toute réponse elle se tourne vers moi, je me tourne vers elle. Ma main se pose sur sa hanche. Je caresse son dos, ses reins. Je n’ose faire plus.
Quand sa bouche se pose sur la mienne une érection violente presque douloureuse survient.
Cette fois ma main est sur ses fesses rondes et fermes. Puis je découvre son pubis fourni et sa vulve trempée. Je caresse, longuement son clitoris tendu, elle gémit, râle bientôt et jouit en criant…
— Oh ! que c’est bon, que c’est bon !
— Que tu es belle, attirante, sensuelle !
En un instant j’ôte sa chemise de nuit et mon pyjama. Je découvre ses petits seins que j’honore des mains et de la langue. Puis plonge mon nez dans ses aisselles velues.
— Excuse-moi mais je ne me rase que l’été.
— Mais tu es tout excusée, c’est superbe et doux.
Ma bouche descend vers son ventre, l’odeur salée de sa vulve m’attire. Je glisse une langue curieuse, Madeleine referme les jambes.
Je reste la bouche sur le pubis et place la langue sur le plus haut de la vulve, elle se détend et ouvre, peu à peu, le compas de ses cuisses. Elle offrira un second orgasme à ma bouche gourmande.
Il est temps que je pense à moi. Je me place sur elle et glisse ma verge dans son con trempé. Je vais et viens lentement. Je change plusieurs fois de position, c’est allongée sur moi qu’elle semble le plus excitée. J’accompagne son plaisir en lui pétrissant les ...
... fesses et lui titillant l’anus.
Elle a un orgasme bruyant. Elle pleure.
— Qu’as-tu Madeleine ?
— Rien que du plaisir, du bonheur. Je n’avais jamais éprouvé rien de pareil.
Elle reste sur moi en silence puis ajoute :
— Je me suis mariée vierge et n’ai eu qu’un partenaire pas bien malin. Un bon mari, un bon père mais un piètre amant.
Je ne souhaite pas ternir notre rencontre par une conversation sur ce sujet. Pour toute réponse je l’embrasse et lui glissant une phalange dans l’anus.
Je me retire, la prends en levrette et explose en elle.
Nous sombrons, peu après, dans le sommeil. Pas pour très longtemps. Je me réveille, rassemble mes idées, un corps chaud et odorant me rappelle où je suis. Je caresse les fesses fermes et offertes, un grognement me répond. Les fesses et les cuisses de Madeleine sont parfaites. Un doigt entre les cuisses confirme que la voie reste humide, une érection tranquille revient. Je glisse la main de Madeleine sur ma verge et demande :
— Caresse-moi.
Quand je suis bien raide je l’invite à me tourner le dos, cambrer les reins et me tendre ses fesses. Je me glisse en elle, un conduit chaud et glissant me reçoit. Mais la belle se "réveille" et exige son plaisir. Elle a pris ma main et l’a posée sur son pubis. Je branle son clitoris et pilonne son con. Elle se trémousse en grognant et bientôt jouit en criant.
Quand Madeleine a retrouvé ses esprits, je me retire de son vagin et présente mon gland sur son anus.
Avant même qu’elle ...