Ça c’est passé simplement 8
Datte: 07/02/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Macerou, Source: Hds
... pendant cet échange la culotte était partie, et j’avais sorti mon matériel, qui ne demandait qu’à prendre l’air, et faisait honneur à son propriétaire. Appuyée dos au mur, la prenant sous le genoux de la jambe droite je la soulevais. Elle prit ma tige et la guida vers son fourreau chaud et qui commençait à bien s’humidifier enfin elle avança son bassin pendant que je m’enfonçais d’un coup de rein. De façon à assurer ma prise je soulevais sa jambe gauche, elle était ainsi complètement empalée sur ma tige ses jambes m’encerclant complètement, ses bras se tenant à mon cou, je pouvais la ramoner à loisir.
Ce qu’elle paraissait apprécier, car le son se mit en route. « T’as gagné, … Ouiiiii, … OOOHHH, c’est bon, …, ouiiii, baises moi fort,… sur la table, on sera mieux … ouiii, j’aime, … encore oui, … continues, ça vient,… »
Dans cette position elle était ouverte et ne pouvait que subir, mais suivant son conseil, malgré mon pantalon qui m’entravait, je la portais jusque sur la table et ainsi je la baisais à grands coups de rein. Malgré ce que nous avions fait, certes je bandais dur, et je commençais à sentir le plaisir monter dans mes reins, mais il fallait que ça sorte. J’étais devenu une machine baiser et je ne pouvais m’arrêter tant que je ne me serais pas vider, quant à ma partenaire, son plaisir coulait d’abondance sur mes cuisses, elle le disait et j’avais l’impression qu’elle était très chaude et qu’elle était prête à partir
« Ouiiiii, … encore, …, c’est bon, …, ...
... Ouiiiiii, je vais jouir, …, ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIII, … continues, …, ne t’arrêtes pas, …, je vais jouir, … Je JOUIIIIIIIIIS, ….. »
Elle était partie, moi ça montait mais je ne pouvais m’arrêter, et je continuais mes va et vient alors que Mireille subissait, et le son reprit, mais pas dans le sens que j’aurais aimé : « Arrêtes, …, je n’en peux plus, … ooohhh, s’il te plait arrêtes, …, je suis moulue, … je t’en supplie, …»
Là, je me suis vu en train de la ramoner, certes elle avait pris son plaisir et moi j’étais resté en rade. Alors que tout ce que nous avions fait avait été fait en accord, j’étais en train de la baiser contre son gré. Je fis un effort terrible pour m’arracher à son fourreau. Mireille se redressa et vint se coller contre moi et me donna ses lèvres, et elle sentit contre son ventre une chose proéminente. Elle s’éloigna un peu et regarda la chose et elle dit : « Mon pauvre chéri, tu vas exploser, … laisses moi faire, je vais devoir m’en occuper » et elle s’accroupit et commença à s’occuper de ma tige, qui je suis certain avait encore pris de la consistance quand Mireille avait dit : « Mon pauvre chéri »
Causant directement à ma tige : « Tu m’as donné bien du plaisir ces deux mois et particulièrement ce soir. Je vais m’occuper de toi et te donner du plaisir ». Pendant ce petit discours elle me caressait, non elle m’effleurait la queue du bout des doigts, montant descendant, de véritable caresses, puis ce fut le bout de ses ongles, c’était de plus en ...