1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (5/6)


    Datte: 06/02/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... derrière lequel Véronique sert des verres après avoir remplacé Nadia qui assurait la permanence du matin.
    
    Les deux premières fois, je loupe ma chance de me faire du fric à hésiter de m’approcher et c’est Sonia, la black qui emporte les biffetons, le deuxième, j’ai l’impression de voir entrer l’homme de Colmar avec sa tenue débrayée et Ilda l’Allemande me double.
    
    J’ai la chance que le troisième homme, étant le stéréotype de l’homme marié, venant s’encanailler, me choisisse, je l’emmène dans la chambre mise à ma disposition par Véronique pour lui laver ses petites affaires et m’allonger en écartant les cuisses.
    
    Le client me pénètre, comme à son habitude, mon corps s’embrase en sentant sa verge glisser en moi, je lui entoure les hanches pour bien le caler et le regardant dans les yeux, je jouis, il semble étonné que mon corps a réagi, mais je suis contente quand il remplit sa capote.
    
    Le travail que Véronique me propose me plaît même si le pourcentage qu’elle prend sur la passe est un peu élevé.
    
    La plupart du reste de la soirée quand je suis à la lutte avec mes deux consœurs, c’est moi qui lève le plus de clients à la grande satisfaction de Véronique ayant toujours un mot d’encouragement chaque fois que je reviens vers elle au bar.
    
    Je reviens le lendemain puis le surlendemain, je remplis mon porte-monnaie comme elle me l’a promis, m’envoyant en l’air chaque fois, quand un soir, je vois entrer une femme avec un foulard sur la tête et des lunettes noires.
    
    J’ai ...
    ... l’impression de l’avoir déjà vue chez cette femme grande des mèches blonde dépassant de son foulard, elle embrasse Véronique et s’approche de moi.
    
    Ma copine a oublié de me dire que je serais amenée à avoir des clientes, mais comme régulièrement, quand nous rentrons, après avoir pris notre bain ensemble, j’adore que Véronique me maltraite avant que je m’endorme repu dans ses bras.
    
    • Bonjour, Jennifer, me reconnais-tu ?
    
    • Pas vraiment, votre silhouette me dit quelque chose, mais j’ignore où nous nous sommes rencontrées.
    
    • C’est normal, tu m’as vu seulement de dos et sans foulard.
    
    La belle femme enlève ses lunettes me montrant des yeux d’un bleu d’une pureté digne des eaux du Pacifique que je pouvais admirer du haut Mauna-Kea à Hawaï et une crinière blonde qu’elle remet en place dans un mouvement de tête gracieuse.
    
    • Je suis Emmanuelle, la femme de Roland que tu as sucée dans notre voiture et qui t’a baisé dans les toilettes d’un restaurant, tu te souviens à Colmar.
    
    • Madame, rien n’a été prémédité, c’est à cause d’un accident de montagne, je le regrette.
    
    • Véronique, ton amie tremble, dit lui pourquoi tu étais dans ce restaurant du Ballon-d'Alsace en prime de passer tes nuits avec Benoît, le serveur que vous aviez rencontré lors de vos dernières vacances.
    
    Explique-lui que Roland et moi sommes des libertins et qu’il m’a tout dit à son retour.
    
    • Jennifer, j’ai gardé une partie de notre voyage pour moi ignorant que la foudre allait bouleverser ta vie ...