COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (5/6)
Datte: 06/02/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... lieu et je récupère des miettes de notre couple.
J’ai obtenu de quitter le foyer et Véronique accepte de me recevoir.
Sexuellement, j’ai toujours les mêmes symptômes, mais avec les objets achetés à Colmar dans un sexe shop, m’aide à les calmer quand le besoin s’en fait sentir.
J’ai complété grâce à Internet ma collection de gode, celui que je chéris en ce moment, semble simple, mais les picots en silicone m’agressent l’intérieur de ma chatte sans pour autant me blesser.
Quand je suis seule le soir, j’ai appris à me planter les aiguilles dans mes seins et surtout mes grandes lèvres, la simple vue de mon corps transpercé devant la psyché qui est dans ma chambre suffit à décupler mon plaisir.
Vivre aux crochets de Véronique est facile surtout que j’aie quelques économies, mais rapidement le besoin de trouver un travail se fait sentir.
• Véronique, c’est étrange, on se voyait fréquemment surtout sur les pentes des montagnes et j’ignore quel métier tu exerces, tu sembles très discrète surtout quand je te vois partir presque tous les soirs avec ta voiture ?
• J’exerce un métier, si ce que je fais est un métier, mais j’ai été discrète, car je veux garder ton amitié.
Je te vois dans la journée et peut-être la nuit te débattre avec les tourments de ton corps à la suite de nos vacances au Ballon-d'Alsace et mon activité pourrait avoir un double rôle.
• Lesquelles ?
• Le premier, te permettre de recouvrer l’indépendance financière que tu avais quand tu ...
... étais avec Robin.
• Et le deuxième ?
• Viens dans ma chambre, je vais te prêter ce qui va te permettre, si tu le désir de retrouver cette indépendante, les soirs, je vais à Genève, je t’emmène et tu verras par toi-même.
Véronique qui a ma morphologie me prête des effets bien plus sexy que ceux que j’ai dans l’armoire de la chambre qu’elle m’a gentiment prêtée, dans la voiture, je la suis ayant confiance en elle.
• Voilà, Jennifer, tu vois ce bar de nuit, j’en suis la propriétaire, c’est là que je travaille quand je te quitte le soir, c’est un bar où des filles se prostituent et qui me fait vivre, j’ai commencé par monter avec les clients et un jour, j’ai racheté le bar.
Si tu veux, je te propose de faire un essai cette nuit, je vais te montrer, comment nous fonctionnons, tu as une sexualité exacerbée, tu vas pouvoir la satisfaire en remplissant ton porte-monnaie.
Si après cette visite, tu veux partir, voilà les clefs de ma voiture, tu rentres chez moi, je le comprendrais et je me ferais raccompagner par Nadia mon associée.
La foudre, mon corps toujours avide de sensations de plus en plus fortes, femme au foyer sans ennui, je pénètre dans ce bar pour vendre ce corps qui m’échappe à des inconnus.
Jusqu’à la fermeture, des verges me percent me faisant entrer dans un monde qui m’était inconnu.
C’est facile, je suis au bar derrière lequel Véronique sert des verres après avoir remplacé Nadia qui assurait la permanence du matin.
C’est facile, je suis au bar ...