1. COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (1/5)


    Datte: 05/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... quarante ans après.
    
    Quand il prend son taxi, je remarque sur la porte de la maison voisine du presbytère où je vais vivre, une vieille femme devant sa porte semblant être triste.
    
    Je salue mon ancien et je rentre découvrir le lieu où je vais vivre.
    
    À l’arrière, entouré du mur protégeant le presbytère un jardin est là.
    
    Le père Mathieu a oublié de me dire qu’il cultivait ses légumes.
    
    Ça tombe bien, la paye est maigre et j’ignore la générosité de mes paroissiens lors des messes et des diverses occasions où j’aurais à leur tendre le panier de la quête.
    
    Le lendemain c’est dimanche, je prépare mon sermon sur les vues du seigneur car étant novice j’ignore ce qui les intéresse.
    
    Je les reçois aux portes de mon église.
    
    Je suis fière de dire mon église.
    
    - Bonjour mon père, heureux de vous connaître.
    
    - Joseph pour vous servir.
    
    La plupart de mes fidèles plus femmes qu’hommes, me salut et j'en fais de même.
    
    Tout va bien jusqu’à la communion.
    
    Devant moi viennent s’agenouiller une jeune femme qui aide la vieille femme vue devant la maison voisine du presbytère à mon arrivé et au moment du départ du père Mathieu.
    
    Ce doit être sa maman qui communie et elle me tend ses mains.
    
    Ses magnifiques yeux bleus pénètrent les miens.
    
    On est curé mais malgré mes vœux de chasteté je suis homme et je sens une certaine réaction que j’ai du mal à chasser quand je vois son joli petit cul s’éloigner soutenant cette vieille femme.
    
    - C’est Marie monsieur le ...
    ... curé.
    
    - Pardon de qui me parles-tu Louis ?
    
    - De la pucelle du village qui fait bander tous les hommes.
    
    - Quel âge as-tu Louis ?
    
    - Douze ans monsieur le curé.
    
    - Et tu sais déjà que les petits culs des femmes font bander les hommes.
    
    - On est à la campagne monsieur le curé et nous apprenons très tôt les choses de la vie.
    
    Cette nuit j’ai aidé mon père à faire mettre bas le troisième petit veau de notre élevage.
    
    J’étais là quand nous avons amener la marguerite au taureau Arthur.
    
    C’est moi qui lui aie tenu sa queue pour la mettre dans son cul.
    
    Il est comme le père Mathieu que vous remplacez Arthur il est un peu vieux et a du mal à tendre le bras.
    
    Louis est l’enfant de chœur qui s’est présenté à moi avant la messe pendant que je me préparais dans la sacristie.
    
    C’est le fils d’un agriculteur étant une force de la nature étant lui-même déjà un garçon à qui j’aurais donné au moins quinze ou seize ans.
    
    - Mon père, je peux vous parler, je suis madame Agnès, l’ancienne institutrice.
    
    Je pense que vous êtes un jeune curé qui va nous refuser de nous confesser.
    
    - Non madame Agnès, venez quand vous voudrez et j’entendrais votre confession.
    
    - Ça c’est bien, je vais dire à mes copines du club de tricot qu’elles pourront venir à confesse que vous êtes un jeune curé prenant soin de nous.
    
    Dommage que vous soyez en costume malgré votre croix on aimait quand les curés étaient en soutane.
    
    Elle s’éloigne un peu voûter soutenue par une canne.
    
    - Vous ...