Ma mère Martine 11
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... Nantes. On fait la pute dans mon dos et dans sa propre maison en plus.
Ma mère est stupéfaite. Comment peut-il être au courant. Il rajoute :
-Eh oui, je suis au courant de tout. Tu me prends pour un con mais ça, tu vas le regretter.
Il commence par lui fouetter les pieds. Ses coups sont calculés pour ne pas provoquer la moindre blessure. Martine gémit de douleur. D'abord son pied gauche, puis le droit. La douleur est forte surtout au niveau de ses orteils.
-Ton calvaire n'est pas terminé et tu n'es pas au bout de tes surprises, salope!
Là, il lui fouette les cuisses. Ma pauvre mère ne peut s'empêcher de contenir sa douleur et des larmes perlent à ses yeux.
-C'est une honte de voir une femme se comporter comme toi. Tu es vraiment la honte de la gente féminine. Tu ne penses pas à celles qui sont obligées de faire cela pour survivre.
Un proxénète qui fait la morale, on aura tout vu. Là, le proxénète lui fouette les aisselles et les bras tout en faisant le tour de la table. Tout est calculé chez lui. Il ne force pas mais procure une certaine douleur.
-Ce soir est un nouveau jour pour toi. Tu vas devenir encore plus qu'une putain.
Cette fois, il se met à lui fouetter ses énormes seins et au niveau des tétons. Il se sert des auréoles brunes comme cible. Ma mère, sensible des seins, ne peut s'empêcher d'hurler tout en pleurant. La séance reprend du début et le proxénète s'applique à bien la fouetter sans la marquer. Ce salopard prend du plaisir à torturer ...
... cette femme à sa merci. Visiblement, il préfère ça que de la baiser : un vrai pervers psychopathe. La séance de fouet se poursuit pendant cinq bonnes minutes. Ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses bras et même sa grosse poitrine n'échappent pas aux fines lanières. D'ailleurs, il s'acharne bien sur cette dernière car il s'est aperçu qu'elle était sensible des seins. La poitrine martyrisée, ma mère ne peut s'empêcher de retenir des larmes. Ses seins si énormes et qui lui procurent tant de plaisir (et à ses innombrables partenaires) la font souffrir horriblement. Elle aimerait tant les recouvrir de ses mains pour calmer la douleur mais elle ne peut pas. Elle est obligée de subir la morsure de ces coups sans qu'elle ne puisse rien faire.
Moi, je suis écœuré de voir ce salaud fouetter cette poitrine qui m'a jadis allaité. Elle se tortille de douleur mais elle sait que ce n'est pas fini et qu'il lui faudra endurer peut-être bien pire. Ce salopard de pervers connaît le truc et de temps en temps, il jette un œil au grand miroir. Il continue à fouetter ces gros nichons comme pour punir cette femme de les avoir si gros. Un des médecins a préparé un rasoir et de la mousse. Comme la dernière fois, Le proxénète va lui raser la chatte pour humilier cette femme bourgeoise qui ose faire la pute pour son plaisir.
Des bougies sont sorties. Une fois chaude, il verse la cire sur les seins de ma mère qui gémit de douleur. Les bougies sont ensuite installées sur chacun de ses tétons et se ...