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Ma mère Martine 11
Datte: 04/02/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d'année par un certain Gabrieldutour. Mes remerciements à cet auteur. Avertissement : Ce récit n'est qu'une fiction sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes assez « hard », gang-bang et prostitution. Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci. ************************************************* La peur commence à envahir ma mère lorsqu'elle entend les pas se rapprocher. Elle sent sa gorge se nouer, ses entrailles lui faire mal. Je rappelle qu'elle est dans une espèce de hangar et qu'elle ne peut bouger. Elle se retrouve totalement nue, maquillée comme la dernière des prostituées et est empaquetée par du film comme un poulet sous vide que l'on trouve dans un rayon de super marché. Elle peut respirer grâce à deux trous au niveau de ses narines. Son corps voluptueux est allongé, les bras le long du corps sur un socle de polystyrène qui épouse parfaitement ses formes comme s'il était prévu pour elle et depuis très longtemps. Sur sa grosse poitrine compressée par le film transparent, au niveau de son téton droit, on peut voir une étiquette avec écrit dessus : Colis à livrer pour trois heures quarante-cinq. Ma mère ressemble donc à un produit emballé destiné à être consommé. Elle n'arrive pas à se dégager car le film est tendu au maximum. Ses efforts sont vains et elle sent les battements de son cœur s'accélérer. Les pas se ...
... rapprochent. Sa respiration se fait de plus en plus rapide. Son ventre se soulève de plus en plus rapidement car la pression du film et ses gros seins gênent sa respiration et la force à avoir une respiration abdominale. La sueur envahit son corps et elle a envie de crier à l'aide. Mais elle sait au fond d'elle même que cela ne sert à rien. D'ailleurs, il est beaucoup trop tard. Les personnes sont dans le hangar maintenant. Ma mère s'affole et tente de s'extirper du colis mais rien à faire. Elle est belle et bien prisonnière. Résignée, elle attend son sort. Les personnes sont des hommes au son de leur voix. Elle ne peut les voir car sa tête est allongée et immobilisée. Une forte odeur de tabac envahit la pièce et elle se sent hissée par ses ravisseurs. Ils sont deux, l'un à l'avant et l'autre à l'arrière. Ma mère se sent transportée par ces deux salauds qui en profitent pour faire des commentaires salaces à haute voix sur elle : -Eh ben, ils ont fait fort. Je me demande où ils sont allés chercher cette pute. T'as vu ses nibards un peu. Je n'ai jamais vu ça. L'autre : -Ouais, en plus il paraît qu'elle est avec son fils. -Quoi? Elle est mariée? -Ouais et même que c'est une bourge. Regarde, cette salope n'a même pas enlevé son alliance. L'homme qui la transporte a un regard à la fois méprisant et pervers. -Eh ben, tu peux être fière de toi sale pute. Cocufier ton mari comme ça! Faire la pute alors que t'es une bourgeoise plein de fric! -Bah, après tout, ...