Ne viens pas
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
médical,
amour,
jalousie,
Oral
fdanus,
amourdram,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... autour de toi et ta robe rougit, rougit. Il est tombé en s’agrippant à ton corps, sa main s’est crispée sur ton sein et il a disparu, il n’y a plus dans la pièce que toi et moi qui dansons. Tu es belle, le rouge met ta poitrine en valeur.
Je ne sais plus comment je suis arrivée dans ce château. Je suis seule. Parfois dans la journée ou la nuit des elfes viennent me voir. Ils me touchent, mais leurs caresses ne me tirent que des sanglots, toi seule savais jouer de mon corps et en sortir tous les sentiments, toutes les sensations cachées, comme tu le faisais avec ton piano, en effleurant ma peau comme tu en effleurais les touches.
Parfois le seigneur du château vient me rendre visite. Il veut que je l’appelle "docteur", mais il ne me touche pas. Il veut toujours que nous parlions, mais il ne sait pas parler d’amour. Il voudrait que je lui parle de toi, rassure-toi notre secret est bien gardé, je ne lui dis rien. Il me fait penser à Frédéric, tu te souviens de ce grand dadais qui voulait faire l’amour avec toi ? Tu lui avais dit : « D’accord, mais avec ma copine. » Il n’en revenait pas de se retrouver dans ce grand plumard avec nous deux. On l’avait vite fait jouir ensuite on s’était occupées l’une de l’autre, on s’était tellement données dans notre corps-à-corps qu’il s’était remis à bander, alors tu m’avais ouverte avec ta langue, avec tes doigts et tu l’avais fait entrer dans mon petit cul. Pendant qu’il me chevauchait tu lui massais les couilles et tu me caressais les ...
... seins. Après on l’avait jeté comme un malpropre en menaçant de raconter à tout le monde que c’était un pervers. Si tu étais là, avec moi, on pourrait baiser le seigneur du château, je voudrais goûter sa chair ruisselante du nectar de ton désir, comme avec Frédéric. Je voudrais sentir tes longs doigts fins m’ouvrir et introduire sa chair en moi, peut-être qu’alors il arrêterait de vouloir parler.
La nuit quelquefois je me mets nue et je me caresse en pensant à toi, par le judas dans la porte je vois des yeux qui me regardent alors je me tourne pour que la pâle lueur qui ne s’éteint jamais éclaire bien les doigts ruisselants qui jouent en moi. Je ne suis pas la seule princesse du château, mais c’est un secret. Parfois la nuit j’entends les pas des elfes, des bruits de portes, des soupirs, des feulements de plaisir, des chuchotements.
Je voudrais que tu viennes me voir avec ta robe rouge, le seigneur me demande toujours ce que c’est que cette robe rouge. Je ne sais pas pourquoi il voudrait que ce rouge symbolise le sang. Le rouge de notre amour, le rouge d’un amour interdit qu’il ne peut pas comprendre et que tout le monde réprouve.
Un joli petit elfe m’a dit que j’étais à l’hôpital et qu’elle était une infirmière, mais je ne la crois pas. Une infirmière ne m’aurait pas laissé passer ma main sous sa blouse et caresser son sexe, elle ne m’aurait pas glissé sa langue dans la bouche avec une telle gourmandise, elle n’aurait pas si gentiment joué avec mon clitoris pour me ...