Ma femme et les Berger
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byjdrd, Source: Literotica
... parlé nous proposa de nous préparer un grog pour nous réchauffer, ce que nous acceptâmes. Mon épouse ne m'avait toujours pas adressé la parole et me jetait des regards encolérés. Le grog fut le bienvenu, même si je le trouvais chargé en alcool. Nous le bûmes pratiquement d'un trait. Il fallut après s'organiser à la fois pour le repas (que nous n'avions pas prévu) pour lequel les espagnols nous invitèrent à partager le leur et pour les lits, où il n'y a avait que 8 lit individuels. Un des espagnols proposa à la rigolade de partager le sien avec ma femme. Elle le foudroya du regard et répondit qu'elle dormirait dans le lit et que je dormirai par terre. Je ne répondis pas à cette nouvelle provocation. Nous passâmes à table.
Ma femme est moi ne nous installèrent pas à côté, elle fût entourée par Juan et par un autre berger, la cinquantaine bien dépassée. Nous étions quelque peu serrés étant donné que la table aussi était prévue pour 8. Le repas était composé de charcuterie, de pain et de fromage, arrosé d'un vin épais. Le verre de mon épouse était toujours plein, mais elle n'y touchait que peu, ne résistant pas à l'alcool. A un moment donné, je fis tomber un morceau de pain par terre par inadvertance et quand je me penchais pour le ramasser, je m'aperçu que Juan et son acolyte essayaient chacun de mettre une main su le genou nue de mon épouse. Celle-ci repoussait leur main de manière assez violente tout en serrant les jambes au maximum. Le « charme » espagnol avait du mal à ...
... agir. En me relevant je scrutais son visage, mais celui-ci paraissait presque impassible et elle ne cherchait pas du support de mon côté. Toujours fâchée, elle était trop fière pour cela. Durant le repas, je la vis se démener à 2 ou 3 reprises et j'imaginais qu'elle repoussait toujours les assauts de ses voisins.
Au moment du dessert, mon épouse avait une drôle de tête, un peu comme dans un état second. Je mis cela sur l'effet de l'alcool. Elle ne bougeait plus et avait les yeux dans le vide. Je pensais que ses voisins s'étaient lassés car elle ne faisait plus de mouvement de bras. Je fis, volontairement cette fois, tomber un couvert par terre. Quelle ne fût pas ma surprise en voyant ma femme, les cuisses largement ouvertes, les genoux posés sur chacune des jambes de ses voisins, la couverture relevée jusqu'à ses hanches, en train de se faire fouiller l'intimité par les gros doigts de Juan, tandis que l'autre berger lui caressait le clitoris. Connaissant ma femme, le spectacle était surréaliste. Juan faisait coulisser deux doigts, les sortants en entier pour les renfoncer complètement. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cette pénétration et cela provoquait chez moi une très forte érection. Je ne sais combien de temps dura cette observation, peut-être 30 secondes, avant que je ne me relève. Juan me regardait avec un grand sourire alors que ma femme paraissait toujours aussi indifférente. Le berger se leva, essuya ses doigts sur le visage de ma compagne et lui prit la ...