Ma femme et les Berger
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byjdrd, Source: Literotica
... peut le faire quand on est fatigué et dans une situation délicate. Je lui ai dit qu'elle faisait ce qu'elle voulait, mais que moi je retournais au refuge entrevu plus tôt pour y passer la nuit. Et sur ces paroles je partais sur le chemin en direction du refuge. Au bruit que faisaient ses chaussures sur le chemin, je savais qu'elle me suivait mais je ne me retournais pas. J'étais très en colère après elle.
Quand j'arrivais au refuge, celui-ci était occupé par un groupe de bergers espagnols. Ils me saluèrent puis restèrent bouche bée. Surpris pas leur réaction, je me retournait et voyait mon épouse qui venait d'entrer dans le refuge, trempée de la tête au pied. L'eau avait rendu ses vêtements entièrement transparents, et non seulement on voyait se parfaitement se dessiner sa poitrine, avec ses grosses auréoles sombres et ses tétons érigés par le froid, mais son short et sa culotte blanche ne cachaient absolument rien de son anatomie. Son pubis apparaissait comme nue à la vue de tous. Elle s'aperçut rapidement de nos regards et protégea la vue sur sa poitrine par ses mains. Mais elle ne fit pas attention que son short avait lui aussi été rendu transparent et ne cacha donc pas son sexe à notre vision. Toujours en colère, je décidais de ne rien dire, et puis la situation commençait à m'exciter au plus haut point.
Ma femme grelottant, elle récupéra sur l'un des lit une petite couverture et demanda si il y avait un endroit pour se changer. Un des espagnols lui montra un petit ...
... réduit où l'hiver les randonneurs pouvaient laisser leurs skis. Elle s'y précipitât, nous tournant le dos et dévoilant par la même occasion ses fesses pleines. Je remarquais une déformation bien visible sur beaucoup d'entrejambes des bergers. Ils étaient au nombre de 7, le plus jeune devait avoir 16 ans et le plus âgé peut-être 60. Il avait un ventre énorme et je me demandais comment il avait pu grimper jusqu'ici. C'est lui qui, voyant que je n'avais pas cherché à dissimuler la nudité de ma femme, et lorgnant sur la protubérance que mon petit short avait bien de la peine à cacher, s'avança vers moi et me dit dans un français approximatif qu'il trouvait ma femme très belle et si il y avait moyen de toucher ce qu'ils avaient pu bien admirer grâce à la pluie. Je lui répondis que si cela ne dépendait que de moi ce serait avec plaisir, mais que mon épouse ne voudrait jamais étant très prude et pudibonde. A cela Juan, c'était son prénom, me dit que si j'étais d'accord, il ne coûtait rien d'essayer et que peut-être le charme espagnol agirait. En le regardant, ainsi que la plupart des autres bergers, tous bedonnant et très poilus, je me dis que le charme espagnol avait du soucis à se faire.
Ma femme sorti de la remise avec la couverture comme paréo, cachant sa nudité du haut de la poitrine jusqu'à mi cuisse. Elle étendit ses vêtements trempés sur une chaise et nous pûmes constater qu'elle n'avait gardé ni sa culotte, ni son soutien gorge, trempés eux aussi. L'Espagnol qui m'avait ...