Histoires d'un mâle alpha (60) - Histoires de Sexe

Histoires d'un mâle alpha (60)

... et me changer. Je dois rejoindre Charlotte au bureau de Sylvain. Elle m’attend en bas. Elle est radieuse. Elle se colle à moi et me roule une grosse pelle. On entre dans les locaux, Sylvain nous attend dans le hall.

— Bonjour Monsieur.

— Ah, ça y est, tu as retrouvé le sens de la politesse et des manières !

— Oui, Monsieur, merci.

— Pour ?

— Pour cette nuit.

— De quoi ?

Je souris, à le voir paniquer, il regarde fébrilement autour de lui :

— D’avoir donné autant de plaisir à la femme que j’aime.

— Mais de rien, mon petit cocu.

Il nous mène dans le bureau de Jean, son patron. Quand il nous voit arriver, il se lève, nous fait entrer et referme la porte, il est tout sourire. Il se dit ravi de me revoir. Je pense qu’il a en tête les images de la nuit chez lui quand il matait Charlotte en train de me sucer.

— Bon, tout est en ordre, le contrat a été signé par Sylvain, désigné dans le document comme « le cocu », il ne manque donc plus que vos signatures à tous les deux, Charlotte désignée dans le contrat comme « l’épouse » et Isaiah, désigné dans le contrat comme « le taureau cocufieur ».

J’éclate de rire.

— J’ai pris cette liberté j’espère que tu ne m’en veux pas.

— Pas du tout ma belle !

On est assis tous les deux au bureau de Jean. J’ai ma main entre ses cuisses. Sylvain est debout à côté de Charlotte.

On signe tous les deux le contrat.

— Bien, Charlotte a décidé de garder l’original dans un coffre dans une banque qu’elle seule ...

... connaît. J’en garde moi-même précieusement une copie. Et je vous en transmets à tous les trois une copie par email.

Je suis assez pressé de retrouver Marina, donc je ne m’éternise pas. Sylvain nous raccompagne dehors. Je roule de grosses pelles à Charlotte devant son bureau.

— Je te dépose à ton travail ma belle ?

— Avec plaisir, mon chéri.

Il nous regarde nous éloigner, je mets une grosse main au cul à Charlotte qui en rigole. Je la dépose à son travail. Elle m’embrasse avant de sortir de la voiture. Je file chez Marina.

C’est Benoit qui m’accueille, à genoux, habillé comme un maître d’hôtel. Je tapote sur ton crâne.

— Bon petit toutou.

— Merci Maître. Comment allez-vous, Monsieur ?

— Très bien.

— Votre femme vous attend.

— Mmmmm parfait ! Mais je prendrais bien un café d’abord.

Je m’installe au salon et le laisse me préparer un café qu’il m’apporte rapidement. Il reste à genoux à mes pieds tandis que je bois mon café et écris des messages.

— J’écris notamment sur le groupe avec Manon et les filles :

— Salut les filles, petite soirée chez moi ce soir ?

Elles répondent toutes oui dans la minute. Manon ajoute :

— Il y a un thème ?

— On a qu’à faire une soirée halloween !

— Parfait.

De les imaginer chercher un costume pour me plaire me fait bander. Donc j’accepte.

Je réponds à un message de Claire qui me demande si on fait un cours particulier le lendemain après-midi :

— Non, on se voit dimanche soir, soirée match chez ...