Histoires d'un mâle alpha (60) - Histoires de Sexe

Histoires d'un mâle alpha (60)

... dit trop rien, il est sous le choc encore.

Je les laisse, on se donne rendez-vous à 9h dans le bureau de son patron.

Moi, je repasse chez moi. J’ai l’agréable surprise d’y trouver Lucie qui fait du repassage dans la buanderie. Elle porte des bottes à talons, une minijupe en daim beige et un top à manches longues blanc, boutonné sur tout le devant, mais les boutons du haut sont ouverts. Elle s’est fait une grande queue-de-cheval.

— Bonjour Isaiah, vous allez bien ?

— Très bien, merci, et toi Lucie ?

— A merveille. J’ai pris la liberté de venir un peu plus tôt. Pour avancer sur le repassage.

— C’est parfait.

Je lui mets une bonne main au cul puis me plaque derrière elle, mains sur ses hanches et l’embrasse dans le cou. Elle frissonne.

— Mmmmmmmm Isaiah...

— Tu sens très bon Lucie.

— Merci.

— Veux-tu un café ?

— Je vais vous en faire un.

— Merci. Débranche le fer, tu reprendras ça quand je repartirai. Tu peux te faire un café aussi, je serai en haut.

— Bien Monsieur.

Je lui mets une fessée quand elle passe devant moi. Elle se retourne en me souriant. Elle me rejoint sur une des terrasses du haut. On prend le café, assis dans le salon d’extérieur.

— Votre appartement est vraiment incroyable, Isaiah.

— Merci, oui j’ai de la chance.

— J’ai le sentiment que vous le méritez.

Je souris. Elle croise les jambes, je devine le haut de ses bas.

— Alors, un avocat ?

— J’ai déjà avancé hier soir sur le sujet.

— ...

... Parfait.

Elle me dit qu’elle a des rendez-vous jeudi matin dans trois cabinets. Je la félicite. Elle précise qu’elle a pris sur elle de faire en sorte que le dossier soit suivi par des femmes à chaque fois. Elle pensait que je préfèrerais. Je souris. Belle initiative, je la félicite. Je lui dis donc qu’elle passe demain matin à 8h, et qu’elle me conduira à ses rendez-vous, auxquels bien sûr elle participera. On finit le café en discutant. Elle me demande si j’ai passé une bonne nuit, si j’ai besoin de quelque chose de suite, et pour la journée. Je lui dis de garder son téléphone allumé et près d’elle.

— Bien évidemment mon Prince.

— Je pose ma tasse sur la table, me lève et me plante devant elle, encore assise. D’une voix calme :

— Lève-toi.

Elle obéit, réajuste sa jupe.

— Remonte-la sur tes hanches.

Elle le fait, je vois qu’elle porte un string noir et des bas autofixants. Je passe un doigt sur son string en appuyant un peu.

— Dis-moi, c’est humide là.

— Oui Monsieur.

— Tu mouilles pour qui là ?

— Pour vous, Isaiah.

— Mmmmm... tu as envie de moi là ?

— Oui Monsieur. J’ai envie de vous en permanence depuis hier midi.

Je lui souris. Je laisse mon doigt là où il est.

— Tu es satisfaite de ces premières vingt-quatre heures ?

— Ravie oui.

Je retire ma main, et lui tends mon doigt. Elle le glisse entre ses lèvres et commence à le sucer lentement.

— Tu as du repassage à finir non ?

— Oui Mon Prince.

Je la laisse là. Je vais me rafraîchir ...