Aventure d'été (2 et fin)
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
groscul,
poilu(e)s,
Auteur: Bodding, Source: Revebebe
... promener nos mains l’un sur l’autre en découvrant les secrets de nos corps.
Almencira se laissa tomber à genoux devant moi et entreprit de me manger le sexe avec dextérité et une extrême sensibilité. Ses mains palpaient, soupesaient, tripotaient mes testicules qui n’avaient jamais été à pareille fête, alors que sa bouche et sa langue semblaient vivre leur propre vie autour et tout le long de ma verge… À pleine bouche elle me suçait le gland, titillait le méat de la pointe de sa langue, revenait le long de la hampe… C’était une grande professionnelle, me disais-je.
Quelquefois elle me serrait le bas de la hampe comme pour m’avertir de ne pas éjaculer… Mutine, sa langue agaçait d’autres fois le prépuce.
Mon corps s’était arqué sous le plaisir et je caressais sa tête au même rythme que ses succions… Fabuleux…
Elle cessa son doux manège et, se relevant, elle se mit à quatre pattes sur le lit, me demandant de la lécher. Ainsi en levrette sur le lit, elle m’offrait toute la nudité de son sexe… Enfin a peu près, car son intense toison remontait toute sa raie fessière et se retrouvait encore quasi jusqu’au bas du dos.
J’avais peu d’expérience de ce genre de caresse, d’autant plus qu’elle avait les fesses délicieusement plantureuses, une raie fessière bien largement ouverte, et que l’on devinait l’entrée de son sexe béant dans les poils…
L’odeur épicée qui s’en dégageait m’attirait et je me suis mis à laper toute cette zone avec avidité… Ma langue passait ...
... sur tout sans s’attarder sur rien. Ma compagne avait glissé une de ses mains entre ses cuisses et s’agitait frénétiquement sur ce qui devait être son clitoris… J’aurais dû m’en occuper !
Elle ondulait du bassin…. J’avais les mains sur ses fesses et je les massais, les agitais, les faisais bouger pour ainsi agiter aussi son sexe… Ma langue avait trouvé sans difficulté son petit orifice arrière et, pour la première fois dans ma vie, j’ai vu palpiter la corolle comme un appel à caresses. Le bout de ma langue s’y est introduit après en avoir testé l’élasticité…
Dans cette position, les seins de ma partenaire pendaient sous elle et se balançaient. Je parvenais à les saisir à pleines mains et à les malaxer sans retenue.
Cela a déchaîné ma partenaire dont le popotin roulait sous ma langue….
Je n’en pouvais plus et j’avais peur d’éjaculer soudainement et de maculer ses fesses…
J’ai placé ma verge à la porte de son vagin et, encore timide (!), j’ai dit :
— Je peux ?
Que pensez-vous qu’elle m’ait répondu ?
— Vas-y, mon grand fou tout neuf…
Je n’attendais que cela, et d’un coup je me suis enfoncé au plus profond de son sexe. C’était large, chaud, humide et comme nanti de muscles en mouvement.
Me sentant en elle, Almencira semblait avoir perdu toute mesure et elle clamait et hurlait son plaisir, s’agitant de la croupe pour encore mieux me sentir…
Je la maintenais solidement aux hanches et j’essayais de labourer du mieux que je pouvais cette croupe ...